L’Union européenne offre des équipements à la RDC pour lutter contre la fraude forestière

KINSHASA, République démocratique du Congo (RDC), 11 avril 2013/African Press Organization (APO)/ — L’Union européenne, à travers son Programme d’appui à la gouvernance (PAG), met à la disposition du Ministère de l’Environnement, Conservation de la Nature et Tourisme (MECNT) divers matériels et équipements destinés à faciliter le contrôle de la fraude forestière en République démocratique du Congo.

Il s’agit de :

– 2 canots rapides équipés chacun de 2 moteurs hors-bords de 45 CV ;

– 18 motos tout terrain

– 20 ordinateurs portables et 20 panneaux solaires en kits pour servir d’énergie d’appoint ;

– 18 GPS, 9 appareils photos et 5 caméras vidéo ;

– 18 malles contenant des fournitures diverses (décamètres, mètres, barèmes de cubage, machettes, pelles rondes, bêches, sacs à dos de voyage, lampes torches, bottes en caoutchouc, imperméables, tentes, boites à pharmacie, codes verts, etc.)

Ces équipements et matériels seront partagés entre les bureaux provinciaux du MECNT dans le Bas-Congo, le Bandundu, l’Equateur et la Province-Orientale.

Dans l’optique d’assurer à la Direction de Contrôle et de Vérification Interne (DCVI) du Ministère de l’Environnement, Conservation de la Nature et Tourisme une meilleure appropriation de l’appui qu’elle bénéficie de la part du projet Observatoire Indépendant pour les contrôles forestiers, le Programme d’Appui à la Gouvernance s’est proposé d’y contribuer par un appui en divers matériels et équipements.

Consécutivement à un état de besoins, confectionné sur base des observations faites par l’ Observatoire Indépendant pour les contrôles forestiers (OI-REM) lors des missions de terrain conjointes avec la DCVI, une liste des équipements et matériels divers destinée à faciliter le contrôle de la fraude forestière a été dressée, différents fournisseurs ont été approchés selon les procédures régissant les marchés de l’Union européenne et ce sont ces fournitures qui font l’objet de la cérémonie de réception officielle ce jour.

A cet égard, le Ministère de l’Environnement, Conservation de la Nature et du Tourisme (MECNT) a décidé de renforcer le dispositif de contrôle des secteurs de l’exploitation forestière et de la transformation des bois. Ce dispositif tient également compte des aspects environnementaux et de la conservation de la nature sans omettre la sauvegarde du patrimoine culturel et de se préoccuper de la situation des peuples autochtones et riverains des forêts.

En RDC, les forêts couvrent 145 millions d’hectares, soit 62% du territoire national et représentent un potentiel de développement économique, social et environnemental très important. Elles constituent une source d’emploi et de revenus à la fois pour les populations et pour l’Etat.

Depuis plus d’une décennie, le Gouvernement s’est engagé dans une politique visant la gestion durable des forêts et de la conservation de la nature. En 2002, la RDC a publié le nouveau code forestier qui a confirmé sa volonté de s’engager dans la gestion durable des forêts.

Toutefois ce cadre juridique n’est pas toujours bien respecté. Les infractions à la législation et à la réglementation nationales constituent encore autant de freins au développement du secteur forestier.

A cet égard, le Ministère de l’Environnement, Conservation de la Nature et du Tourisme (MECNT) a décidé de renforcer le dispositif de contrôle des secteurs de l’exploitation forestière et de la transformation des bois. Ce dispositif tient également compte des aspects environnementaux et de la conservation de la nature sans omettre la sauvegarde du patrimoine culturel et de se préoccuper de la situation des peuples autochtones et riverains des forêts.

Dans le cadre de sa contribution à la restauration de l’état de droit en République démocratique du Congo, l’Union européenne a conçu le Programme d’Appui à la Gouvernance (PAG) en vue de la promotion de la bonne gouvernance à travers le développement institutionnel dans les domaines (i) de la justice, (ii) de la gestion des finances publiques et (iii) de la gestion des revenus publics provenant de l’exploitation des ressources naturelles.

C’est ainsi que le Programme d’Appui à la Gouvernance de l’UE, a mobilisé depuis décembre 2010, sur demande du MECNT, l’ONG Britannique Resource Extraction Monitoring (REM) pour une observation indépendante de la mise en application de la législation forestière et de la gouvernance en RDC. Conformément aux termes de référence de son projet, l’Observatoire Indépendant (OI) appuie l’administration forestière dans la conduite de missions de contrôle, la publication de rapports et de documents de travail et l’élaboration des procédures pertinentes au contrôle forestier.

La Direction de Contrôle et Vérification Interne (DCVI) est la direction en charge au sein du Ministère de l’Environnement, Conservation de la Nature et Tourisme des prérogatives de police judiciaire en matière d’Environnement et de Conservation de la Nature. Dans ce cadre, la DCVI a effectué avec l’OI-REM des fréquentes missions de contrôle pour constater les infractions aux dispositions légales et y donner les réponses appropriées.

La cérémonie de ce jour consiste en la remise officielle de ces équipements à la DCVI afin de renforcer ses capacités à assurer par elle-même les missions de contrôle alors que l’appui de l’OI-REM arrive à son terme contractuel.

EAX conclut les premières enchères professionnelles régionales de maïs sur la plateforme NASDAQ

KIGALI, Rwanda, 6 novembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Le jeudi 31 octobre, la Bourse d’Afrique de l’Est, (East Africa Exchange, EAX) (http://www.africaexchange.com), récemment ouverte, a réalisé les premières enchères professionnelles régionales depuis son siège au Rwanda, en concluant une vente de 50 tonnes métriques de maïs à 398 USD la tonne entre un vendeur ougandais et un acheteur rwandais. Ces enchères ont rapproché l’EAX de son ambition de créer un « marché africain unique » et a accordé davantage de crédit à l’importance des échanges de matières premières au niveau régional.

Logo Heirs Holdings: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/heirs-holdings.jpg

Photo Tony Elumelu: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/tony-elumelu.jpg

L’EAX appartient à African Exchange Holdings (AFEX) qui a été cofondée par la Heirs Holdings de Tony Elumelu (http://www.heirsholdings.com), Berggruen Holdings et 50 Ventures pour développer un réseau de bourses de marchandises à travers l’Afrique, afin de transformer les dynamiques d’échange et assurer de plus hauts revenus aux populations rurales pauvres. L’EAX, la première bourse AFEX, est la première bourse régionale de marchandises créée pour faire le lien entre les petits agriculteurs et les marchés agricoles et financiers, assurer des prix compétitifs pour leurs produits et faciliter l’accès aux possibilités de financement.

Le Président de l’AFEX, Tony O. Elumelu, Commandant de l’Ordre du Nigeria, a déclaré : « Les premières enchères conclues par East Africa Exchange démontrent avec force l’immense valeur qui peut être libérée grâce à cette plateforme. L’EAX continuera à faire progresser la compétitivité et l’intégration des marchés agricoles d’Afrique de l’Est, ainsi qu’à apporter des améliorations tangibles dans la vie des agriculteurs de la région. Nous espérons avoir le même impact dans de nombreux pays d’Afrique. »

Avec une toute nouvelle plateforme d’échanges fournie par le NASDAQ, l’East Africa Exchange (EAX) a des projets ambitieux : elle vise à transformer la manière dont les petits exploitants agricoles et les traders font affaire en Afrique de l’Est et au-delà. Elle fournira un accès au marché mondial aux agriculteurs locaux grâce à une technologie éprouvée.

Dans les jours précédant ces premières enchères, les traders locaux ont dû visiter les bureaux de l’EAX et suivre une formation sur OMX, la plateforme électronique de trading du NASDAQ. Au cours des quatre derniers mois, l’EAX a formé plus de 50 traders locaux et régionaux à cette nouvelle technologie.

La bourse constituera une place offrant transparence des prix et accès à un marché plus large aux agriculteurs de toute l’Afrique de l’Est et au-delà.

Distribué par APO (African Press Organization) pour Heirs Holdings.

À propos de l’EAX

EAX Rwanda est la première composante d’une bourse régionale conçue pour offrir plus de transparence aux marchés de marchandises de la région. C’est une filiale d’African Exchange Holdings Ltd (AFEX), une holding fondée par Heirs Holdings (http://www.heirsholdings.com) et Berggruen Holdings (http://www.berggruenholdings.com), en partenariat avec la The Tony Elumelu Foundation (http://www.tonyelumelufoundation.org), et 50 Ventures, qui cherche à développer un réseau de bourses de marchandises à travers l’Afrique pour transformer les dynamiques d’échange et assurer de plus hauts revenus aux populations rurales pauvres.

Grâce à des investissements du secteur privé et dans le cadre d’un accord signé avec le gouvernement rwandais, la Bourse d’Afrique de l’Est (East Africa Exchange) vise à accroître l’efficacité et la liquidité des marchés régionaux ainsi qu’à améliorer l’accès aux marchés des 130 millions d’habitants de la région, surtout des petits exploitants agricoles. Soutenue par NASDAQ OMX, la bourse se consacrera tout d’abord sur la mise en place d’un système de vente aux enchères et d’échanges au comptant pour les marchandises agricoles et non agricoles, mais développera également des opérations à terme à travers l’Afrique de l’Est. La Bourse d’Afrique de l’Est compte parmi ses investisseurs Heirs Holdings, The Tony Elumelu Foundation, Berggruen Holdings (une entité du Nicolas Berggruen Charitable Trust conseillée par le Berggruen Institute on Governance (http://berggruen.org), 50 Ventures et Ngali Holdings (http://www.ngali.com), sous direction rwandaise.

L’EAX complètera l’objectif d’intégration économique régionale de la Communauté de l’Afrique de l’Est (East Africa Community – EAC) tel qu’établi par le Protocole du Marché commun, qui consiste à accroître la liquidité et la pérennité des marchés financiers et de marchandises dans la région, en soutenant la compétitivité de l’EAC au niveau mondial. L’EAX stimulera également les économies nationale et régionale en réduisant les obstacles commerciaux aux échanges et en offrant plus de transparence à l’économie régionale grâce à un mécanisme sécurisé qui facilite le financement pour les agriculteurs et les traders.

DHL remet neuf gorilles en liberté

LIBREVILLE, Gabon, 26 juin 2013/African Press Organization (APO)/ — Dans le cadre d’une initiative de conservation unique en partenariat avec l’Aspinall Foundation, DHL (http://www.dhl.com), la première société de logistique au monde, a transporté une famille de neuf gorilles à dos argenté du Zoo de Port Lympne dans le Kent au Parc National des Plateaux Batéké, au Gabon.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/dhl_logo2.jpg

Photo 1: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=552 (Le Boeing 767 de DHL sur la piste d’atterrissage, prêt à livrer les gorilles)

Photo 2: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=551 (Une livraison spéciale de DHL du gorille mâle Djala dans sa caisse aménagée (photo : M. Rolfe)

Photo 3: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=553 (Une famille de gorilles au zoo de Port Lympne)

Photo 4: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=550 (Le gorille nommé Djala assis sur un lit de paille au zoo de Port Lympne)

Les gorilles ont parcouru 9 000 km, depuis le Royaume-Uni jusqu’à Bruxelles, puis à bord d’un Boeing 767 spécialement équipé jusqu’à Lagos, au Nigéria, et enfin vers Franceville, au Gabon. Pour la dernière étape du voyage, ils ont été transportés en hélicoptère vers le parc national en collaboration avec les autorités du Gabon.

En plus des animaux, qui totalisaient un poids combiné de 620 kg, pas moins de 1 200 kg de nourriture et d’équipement vétérinaire les ont accompagnés durant leur voyage vers la liberté.

Pour s’adapter au plan de transport des gorilles, DHL a utilisé deux avions différents hors service et a temporairement reconfiguré son réseau mondial pour assurer qu’ils puissent être transportés dans un délai aussi serré que possible.

Les gorilles des plaines de l’Ouest sont classés parmi les espèces gravement menacées de disparition, et il s’agit de la toute première tentative de réintégrer une famille entière dans son habitat naturel. L’initiative « Back to the Wild » (Retour dans la nature) de l’Aspinall Foundation fait partie de son engagement permanent à repeupler la population sauvage avec des espèces menacées ou gravement menacées, suite à ses programmes au succès sans précédent d’élevage en captivité dans ses parcs animaliers du Kent.

Phil Couchman, PDG de DHL Express au Royaume-Uni et en Irlande, a commenté : « Ce n’est pas une mince affaire de déplacer une famille de neuf gorilles à travers le monde. Il s’agit d’une cause extrêmement importante, qui nécessite une importante gestion logistique pour DHL – notre priorité tout au long de l’opération a été d’assurer la sécurité et le bien-être des animaux.

« En travaillant étroitement avec l’Aspinall Foundation, un organisme de bienfaisance voué à la conservation, pour préparer le déplacement, nous avons garanti le voyage le plus fluide possible pour les gorilles.

Charles Brewer, directeur général de DHL Express en Afrique subsaharienne, a déclaré : « Notre équipe dédiée chargée des “livraisons spéciales”, qui inclut du personnel de l’ensemble des opérations de DHL, des ingénieurs aéronautiques, des manutentionnaires, des équipes de sécurité, des pilotes et des chauffeurs, a fait un excellent travail pour assurer la réussite de ce projet. Nous sommes ravis d’avoir assisté la famille de gorilles et nous espérons qu’ils apprécient leur nouvel habitat. »

Damian Aspinall, pionnier de la conservation et président de l’Aspinall Foundation, a affirmé : « L’initiative Back to the Wild de l’Aspinall Foundation est unique et représente ce qui est certainement la réintroduction dans la nature la plus ambitieuse d’espèces gravement menacées jamais entreprise dans le monde. Nous sommes ravis que DHL ait si généreusement participé en tant que partenaire à ce projet de rapatriement important et passionnant. »

Distribué par l’Organisation de la Presse Africain pour Deutsche Post DHL.

Contacts pour les médias :

Lee Nelson. Responsable : Publicité et relations publiques, Afrique subsaharienne.

Tél. : +27 21 409 3600 Mobile +27 72 361 0178

[email protected]

DHL – La société de logistique du monde (The Logistics company for the world)

DHL (http://www.dhl.com) est le leader mondial du marché de la logistique et « la société de logistique du monde » (The Logistics company for the world). DHL met son expertise dans le domaine des services express internationaux, du fret aérien et maritime, du transport routier ou ferroviaire, de la logistique contractuelle et du courrier international, au service de ses clients. Un réseau mondial composé de plus de 220 pays et territoires, et d’environ 285 000 salariés dans le monde entier, offre à ses clients un service de qualité de haut niveau et une connaissance du terrain, permettant de satisfaire aux exigences dictées par leurs chaînes d’approvisionnement. DHL assume sa responsabilité sociale en soutenant la lutte contre le changement climatique, la gestion des catastrophes naturelles et l’éducation.

DHL fait partie de Deutsche Post DHL. Le groupe a enregistré des recettes d’un montant supérieur à 55 milliards d’euros en 2012.

Déplacement au Gabon de Mme Hélène Conway-Mouret

PARIS, France, 13 juin 2013/African Press Organization (APO)/ — Quai d’Orsay – Déclarations du porte-parole

Mme Hélène Conway-Mouret, ministre déléguée chargée des Français de l’étranger, se rend au Gabon afin de participer à la deuxième édition du New York Africa Forum, une enceinte réunissant plus de 700 décideurs politiques, économiques et financiers de la nouvelle économie africaine.

Mme Conway-Mouret sera reçue par le président de la République gabonaise, M. Ali Bongo.

Dans le cadre de notre diplomatie économique, la ministre aura un déjeuner de travail avec des chefs d’entreprise français et gabonais, et participera à un panel économique du New York Africa Forum.

La ministre se rendra également au camp militaire de Gaulle afin de rencontrer les Forces françaises du Gabon. Neuf cents soldats français sont stationnés au Gabon et assurent la mise en oeuvre de la coopération militaire opérationnelle avec l’ensemble des pays de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC).

Enfin, Mme Conway-Mouret rencontrera la communauté française du Gabon, les élus locaux ainsi que les représentants associatifs. Plus de quinze mille compatriotes sont établis au Gabon.

Afrique : Un nouveau rapport recommande de porter une plus grande attention à la prévention des conflits

LONDRES, Royaume-Uni, 12 février 2014/African Press Organization (APO)/ — Le dernier rapport établi par Think Security Africa (TSA, Envisagez des mesures de sécurité en Afrique) (http://www.thinksecurityafrica.org) : La sécurité en Afrique 2013 | Reprendre des initiatives pour la paix, suscite des préoccupations quant à la montée brutale des conflits civils et l’augmentation consécutive des transferts inconstitutionnels du pouvoir prévus et effectifs. Ces incidents ont doublé entre 2011 et 2013.

Télécharger le rapport (anglais): www.apo-mail.org/140212.pdf

Logo : http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/think-security-africa.png

Photo : http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/140212im.png

Fondé sur des évaluations de l’évolution de la situation en matière de sécurité entre 2011 et 2013, le rapport s’appuie sur des cartes, des graphiques et d’autres supports visuels pour proposer une approche nuancée de la sécurité sur la scène africaine contemporaine.

« Si l’on veut renforcer la sécurité en Afrique, nous devons d’abord mieux la comprendre. Ce rapport a pour but de rendre plus tangibles les questions souvent confuses et comportant un caractère fortement émotionnel. Ce sont des problèmes quotidiens qui entraînent les conflits les plus importants en Afrique, et nous devons vraiment commencer à utiliser ces informations qui nous permettront d’empêcher une dangereuse escalade de la violence. On ne peut pas laisser la situation qui prévaut actuellement en RCA se reproduire dans d’autres régions et ce rapport propose à cet effet quatre possibilités de réponses », affirme Adunola Abiola, fondatrice de Think Security Africa.

La sécurité en Afrique 2013 | Reprendre des initiatives pour la paix accorde une attention particulière aux incidents en lien avec le conflit national ou sous-national, l’insécurité transfrontalière, la sécession, le coup d’État, l’instabilité politique, le conflit de faible intensité, le terrorisme, l’insécurité maritime et les protestations et les grèves dans tout le pays.

Le rapport établit un lien entre la tendance à la hausse d’un coup d’État prévu et réel et la guerre civile en Afrique. Le rapport explore également le lien existant entre l’insécurité transfrontalière et les conflits d’intensités différentes.

L’une des conclusions les plus pertinentes du rapport en matière de stratégie politique a révélé que la forme de violence la plus grave se produit le plus souvent lorsque les États sont confrontés à des difficultés en lien avec les trois aspects suivants en même temps : la chaîne de commandement nationale, la gestion de la société, et la préservation de l’intégrité territoriale.

Consultez « La sécurité en Afrique 2013 | Reprendre des initiatives pour la paix » à l’adresse suivante : http://www.thinksecurityafrica.org/research/security-in-africa-2013

Diffusé par APO (African Press Organization) pour Think Security Africa (TSA).

Contacts pour les médias : Joel Tavon

E-mail : [email protected]

Tél : +44 203 287 0008

À PROPOS DE TSA

Think Security Africa (TSA) (http://www.thinksecurityafrica.org) est un groupe de réflexion indépendant spécialisé dans les questions liées à la sécurité en Afrique. Pendant plus de quatre ans, TSA a communiqué des renseignements sur des questions africaines ayant des incidences aux niveaux régional, national et mondial. La mission principale de TSA est de favoriser la compréhension des questions liées à la sécurité en Afrique et d’entreprendre des activités de recherche objectives sur les causes et les solutions possibles à ces questions d’insécurité dans toute l’Afrique.

Les ressources de TSA sont utilisées par les organismes intergouvernementaux et non gouvernementaux, les journalistes et les entreprises afin de les aider dans leurs missions en Afrique.

La société américaine Blumberg Grain établit un centre de fabrication de systèmes de stockage des céréales haute technologie en Afrique de l’Ouest

MIAMI, 13 décembre 2012 /PRNewswire via African Press Organization (APO)/ — La société Blumberg Grain basée aux États-Unis, un fournisseur mondial verticalement intégré de systèmes de stockage des céréales et des aliments de haute technologie, a annoncé aujourd’hui ses projets visant à construire une usine de fabrication et un pôle d’exportation en Afrique de l’Ouest. L’investissement devrait créer plus de 1 000 emplois et générer des exportations d’une valeur de plus de 1,25 milliard USD pour le pays d’accueil du centre. Blumberg Grain a mentionné le Ghana, le Nigeria et la Namibie parmi les emplacements envisagés.

Blumberg Grain prévoit de choisir ses partenaires commerciaux et le site de son centre d’ici le premier trimestre 2013 et de commencer la production au cours du deuxième semestre de l’année prochaine, dans le cadre de sa stratégie mondiale visant à ouvrir de telles plaques tournantes dans le monde entier.

Une fois mis en place, le centre ouest-africain fournira des entrepôts et des systèmes de gestion des stocks de pointe, ainsi que des plateformes de gestion des stocks alimentaires et de bourse de marchandises.

La technologie en instance de brevet de Blumberg Grain est conçue pour endiguer un problème mondial croissant : la volatilité des disponibilités alimentaires en raison des pertes après récolte de céréales, de fruits et légumes frais et d’autres denrées périssables. Dans certaines régions du monde, les pertes après récolte ont atteint le niveau inquiétant de 60 pour cent. Les systèmes de stockage et de conservation des aliments innovants de Blumberg Grain peuvent contribuer à diminuer les pertes dans les champs et après récolte pour se situer à moins de cinq pour cent.

« Le processus de sélection de l’usine de fabrication et du pôle d’exportation sont en cours depuis quelques mois, et de nombreux pays ouest-africains ont manifesté un très vif intérêt », a déclaré Philip Blumberg, président et directeur général de Blumberg Capital Partners.

« Notre centre nous offre un avantage concurrentiel significatif, notamment face aux sociétés chinoises qui ont tendance à faire appel à leur pays d’origine pour la main-d’œuvre et les matériaux. Nous nous engageons à favoriser l’emploi et la formation locaux, ainsi qu’à travailler avec des sociétés locales pour l’approvisionnement en acier, la logistique et les services d’ingénierie, en augmentant ainsi significativement le PIB du pays d’accueil de notre centre. »

L’usine de fabrication de Blumberg Grain et son pôle d’exportation produiront initialement 1 200 entrepôts par an. La demande pour une telle technologie en Afrique de l’Ouest est estimée à 6,3 milliards USD.

« Nos entrepôts sont à la fois rentables et technologiquement extensibles », a précisé Christian Rath, vice-président principal chez Blumberg Grain, avant de poursuivre, « Par exemple, chaque entrepôt peut être relié électroniquement à des systèmes de gestion des stocks sophistiqués et à des bourses de marchandises mondiales, permettant aux pays et aux entreprises commerciales de surveiller à distance leurs disponibilités alimentaires et de tirer profit des conditions tarifaires en période de pointe sur le marché. »

Les entrepôts sont préfabriqués et donc plus rapides à déployer dans le monde. Facilement transportables, ils peuvent être facilement déplacés dans des zones rurales afin d’atténuer les pertes après récolte dans les fermes. Lorsqu’ils sont construits ensemble dans des centres régionaux les entrepôts peuvent également servir de grands terminaux de céréales et de fruits et légumes frais, contribuant à la sécurité et l’innocuité accrues des magasins alimentaires des multinationales et des gouvernements des États souverains.

L’offre de Blumberg Grain comporte un système de stockage en gros autonome supérieur aux silos de céréales traditionnels fabriqués en acier, tant en matière de coût, de qualité du stockage que de sécurité des opérations. Le système ferme hermétiquement les céréales dans des conteneurs personnalisés d’une capacité de jusqu’à 1,5 tonne chacun. Les conteneurs ne nécessitent pas de fumigation, ce qui élimine l’utilisation des produits chimiques. Ce système de stockage élimine 100 pour cent des ravageurs qui sont l’une des principales causes d’endommagement des céréales, selon une étude réalisée en 2012 par la Iowa State University.

À propos de Blumberg Grain

Blumberg Grain, une division opérationnelle de Blumberg Capital Partners, est basée à Miami (Floride), et possède des bureaux à New York, Chicago et Washington, D.C., ainsi qu’un centre de recherche-développement et d’ingénierie affilié situé à Des Moines (Iowa).

Dans le cadre de sa stratégie de croissance internationale, Blumberg Grain mettra sur pied des usines de fabrication et des pôles d’exportation en Afrique de l’Ouest, au Moyen-Orient, en Afrique du Nord, en Asie centrale et du Sud-Est et en Europe de l’Est.

Pour en savoir plus, veuillez consulter le site www.blumberggrain.com.

CONTACT : Joe Perone, Healy Corporate Communications, +1-908-581-4671, [email protected], ou Jeff Baum, Healy Corporate Communications, +1-214-415-8220, [email protected]

MasterCard fournira le Programme Nigérian des Cartes d’Identité

LE CAP, Afrique du Sud, 9 mai 2013/African Press Organization (APO)/ — Pour tweeter cette information, copiez et collez http://bit.ly/18YOsij

La Commission Nigériane Nationale de Gestion de l’Identité (NIMC) (http://www.nimc.gov.ng) et MasterCard (http://www.mastercard.com) ont annoncé aujourd’hui, en marge du Forum Économique Mondial sur l’Afrique, le déploiement, sur la base d’un projet pilote, de 13 millions de Cartes Intelligentes d’Identité Nationale (National Identity Smart Cards) (http://www.nimc.gov.ng/reports/id_card_policy.pdf) de marque MasterCard disposant de capacités de paiement électronique. Ces nouvelles Cartes Intelligentes d’Identité Nationale font partie du Système de Carte récemment développé par le Système National de Gestion de l’Identité (NIMS). Ce programme est le plus large déploiement de solutions de paiement électronique dans le pays et la plus vaste initiative d’inclusion financière du genre dans tout le continent africain.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/2012-mastercard-logo-ds.png

Image – Carte recto-verso : http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=473

Photo : http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=474

Infographie : http://newsroom.mastercard.com/press-releases/mastercard-to-power-nigerian-identity-card-program/mastercard_africa_infographic_01-13_v9/

Dans le cadre de ce programme, et dans sa première phase, les nigérians, âgés de 16 ans et plus, et tous les résidents dans le pays de plus de deux ans, auront la nouvelle carte d’identité multifonction qui inclut la technologie de paiement prépayée MasterCard qui offre aux titulaires de carte la sécurité, la commodité et la fiabilité des paiements électroniques. Ceci aura un impact positif et significatif sur la vie de ces nigérians qui n’avaient pas, jusque-là, accès aux services financiers.

Ce projet s’appuie sur Access Bank plc en tant que banque émettrice des cartes, lors de la phase pilote, et sur le système Unified Payment Services Limited (Unified Payments) en tant que système de paiement. D’autres banques émettrices prendront part à ce projet dont United Bank for Africa, Union Bank, Zenith, Skye Bank, Unity Bank, Stanbic et First Bank.

L’annonce a été faite par le Docteur Ngozi Okonjo-Iweala, Ministre de la Coordination économique et Ministre des Finances du Nigeria, qui a mis l’accent sur l’importance du rôle du Système des Cartes Intelligentes d’Identité Nationale dans l’évolution du Nigeria vers une plateforme électronique. Madame le Ministre a ainsi déclaré : « Ce programme est un modèle pour nous, regroupant tous les citoyens sur une plate-forme commune d’interaction avec toutes les agences gouvernementales et de réalisation de transactions électroniques. Nous exécuterons ce programme de manière collaborative entre les acteurs des secteurs public et privé, afin d’atteindre le plein potentiel de ce projet en termes de citoyenneté inclusive et de gouvernance plus efficace ».

« L’annonce qui a eu lieu est la première phase d’un projet sans précédent en termes d’ampleur et de portée pour le Nigeria. » A déclaré monsieur Michael Miebach, président de la section Moyen Orient et Afrique chez MasterCard, avant de rajouter « Mastercard a été un fervent soutien à la politique sans espèces de la Banque centrale du Nigeria (CBN), au vu de notre vision partagée d’un monde au-delà de la monnaie en espèce. Dès le début du programme, nous avons fourni au Gouvernement Fédéral du Nigeria les visions globales et les meilleurs pratiques démontrant que les paiements électroniques peuvent permettre une croissance économique et créer une économie plus inclusive. »

Pour sa part, Monsieur Chris ‘E Onyemenam, Directeur Général et Président de la Commission Nationale de Gestion de l’Identité, a justifié le choix de MasterCard en tant que partenaire de ce programme en déclarant : « Nous avons choisis MasterCard en tant que fournisseur de technologie de paiement dans le cadre de la phase initiale de déploiement du projet des Cartes Intelligentes d’Identité Nationale, car l’entreprise a démontré son engagement à promouvoir l’inclusion financière à travers la réduction de l’argent en espèce dans l’économie du Nigeria », avant de rajouter « MasterCard a été pionnière dans les systèmes de cartes à grande échelle qui combinent des fonctionnalités biométriques et des technologies de paiements électroniques, et nous souhaitons capitaliser sur leur expérience dans ce domaine pour faire du déploiement de notre programme un succès durable pour notre pays et pour tout le continent. »

« L’engagement de Access Bank dans ce projet témoigne de nos efforts continus dans le développement de l’inclusion financière au Nigeria » a déclaré Monsieur Aigboje Aig-Imoukhuede, Directeur Général d’Access Bank. « La nouvelle carte d’identité va révolutionner le paysage économique nigérian, brisant l’un des plus importants obstacles à l’inclusion financière, à savoir une preuve d’identité, le tout en fournissant aux nigérians une solution de paiement de classe mondiale ».

« Unified Payments, entreprise détenue par de grandes banques nigérianes, est le principal opérateur de traitement de transactions et un pionnier du système de traitement des paiements et de l’acquisition EMV au Nigeria. Nous mettrons à contribution notre expertise et notre expérience afin de garantir le succès du projet et s’assurer que les données des nigérians soient protégées. Nous nous réjouissons à l’idée de travailler avec d’autres partenaires pour créer de la valeur ajoutée pour toutes les parties prenantes. » A déclaré pour sa part madame Agada Apochi, PDG de Unified Payments.

Les nouvelles Cartes Intelligentes d’Identité Nationale vont intégrer le Numéro unique d’Identification Nationale (NIN) des personnes dûment enregistrées dans le pays. La procédure d’inscription requiert l’enregistrement de données démographiques et biométriques de l’individu (10 empreintes digitales, photo du visage et signature numérique), utilisées afin d’identifier le titulaire de carte et d’éliminer tout risque de fraude ou de détournement. Il découlera de cette procédure, une Base de Données Nationale des Identités qui fera office de plateforme à plusieurs autres propositions de la Commission Nationale de Gestion de l’Identité, y compris l’authentification et la vérification de l’identité.

Grâce à l’identification unique et non ambigüe des personnes à travers le Système National de Gestion de l’Identité, d’autres systèmes de cartes d’identification comme le Permis de Conduire, la Carte d’Électeur, La Carte d’Assurance Maladie, les Taxes, les cartes SIM et les cartes de la Commission Nationale des Pensions (PENCOM) pourront en bénéficier et être tous intégrés au système de cartes multifonctions du NIMS en utilisant le code NIN. En utilisant la carte en tant qu’outil de paiement prépayé, le titulaire de la carte pourra y déposer des fonds, recevoir ses prestations sociales, payer pour des biens ou des services, dans l’un des 35 millions de points dans le monde où les cartes MasterCard sont acceptées. Il pourra également retirer de l’argent depuis n’importe quel distributeur automatique acceptant les cartes MasterCard ou effectuer l’une des multiples autres transactions financières facilitées par les paiements électroniques. Le tout, dans un environnement sécurisé et pratique rendu possible grâce aux normes EMV puce et PIN.

Au terme du processus d’enregistrement National ID, la Commission Nationale de Gestion de l’Identité vise à introduire plus de 100 millions de cartes pour les 167 millions d’habitants du Nigeria.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour MasterCard Worldwide.

À propos de MasterCard

MasterCard (NYSE: MA) (http://www.mastercard.com) est une société internationale technologique dans l’industrie des paiements. Elle exploite le réseau de paiement le plus rapide au monde et tisse des liens entre consommateurs, institutions financières, commerçants, autorités publiques et entreprises dans plus de 210 pays. Les produits et services MasterCard favorisent les activités commerciales au quotidien – telles que le shopping, les voyages, la gestion d’une entreprise et de ses finances – de manière plus simple, plus sûre et plus efficace pour tous. Vous pouvez nous suivre sur Twitter : @MasterCardNews, vous joindre à la discussion sur le Cashless Conversations Blog et vous abonner pour recevoir les dernières nouvelles.

À propos de NIMC

La Commission Nigériane Nationale de Gestion de l’Identité (NIMC) a été établie par la loi NIMC N°23, 2007, en tant que premier instrument légal, institutionnel et de régulation de la mise en place d’un système national de gestion de l’identité fiable et qui permettra aux citoyens nigérians et aux résidents légaux d’attester de leur identité. La Loi confie à la Commission Nigériane Nationale de Gestion de l’Identité (NIMC) la création, la propriété et la gestion de la base de données, l’émission des numéros nationaux d’identification, pour enregistrer les individus, fournir des services d’authentification et de vérifications, émettre des cartes intelligentes à usage multiple, intégrer les bases de données d’identités auprès des agences gouvernementales et favoriser le développement du secteur de l’identité au Nigeria. La Loi donne aussi la possibilité à la Commission Nigériane Nationale de Gestion de l’Identité (NIMC) de collaborer avec tous les organismes publics ou du secteur privé utiles pour réaliser ses objectifs.

À propos de Unified Payments

Unified Payments est une entreprise détenue par un consortium de banques nigérianes. Notre cœur de métier inclut le traitement des paiements, l’acquisition des commerçants, les transferts, les services liés aux terminaux de paiement et la fourniture de services et de solution à forte valeur ajoutée. Unified Payments a été la pionnière dans l’émission et l’acceptation des cartes répondant aux normes EMV puce et PIN au Nigeria, qui ont conduit à la réduction des cas de fraude au moyen d’un distributeur automatique de billets au Nigeria de plus de 95%. L’entreprise a permis aux banques et commerçants nigérians, et pour la première, d’accepter les cartes étrangères dans les distributeurs automatiques et les terminaux de vente, et a également lancé l’émission des cartes Naira, acceptées mondialement.

À propos de Access Bank

Access Bank Plc (http://www.accessbankplc.com) est une banque commerciale disposant d’un réseau de 300 agences et centres de services situés dans les grandes villes du Nigeria, en Afrique Subsaharienne et au Royaume-Uni. Cotée à la Bourse du Nigeria, la Banque a plus de 800.000 actionnaires et joui, de ce qui est sans aucun doute, la plus importante courbe de croissance bancaire en Afrique, au cours des dix dernières années, se classement parmi les 20 premières banques africaines en terme des actifs totaux et du capital en 2011. Dans le cadre de sa stratégie de croissance soutenue, Access Bank a fait du modèle d’entreprise durable le cœur même de toutes ses opérations. La Banque s’efforce de réaliser une croissance économique durable qui soit économiquement rentable, écologiquement responsable et socialement pertinente.

Pour les relations avec les médias, veuillez contacter :

Monsieur Sami Lahoud, MasterCard Moyen Orient et Afrique, [email protected], +971 56 216 9273

Ben Alofoje, Directeur Adjoint/ Responsable des Etudes et de la Stratégie, [email protected], +234 80 2321 16450

Monsieur Felix Edionwe, Unified Payment Services Ltd, [email protected], +234 80 6236 8638

Monsieur Omobolanle Victor-Laniyan, Access Bank Plc, [email protected], +234 703 411 2651

Orange Money Permet a ses Clients d’Effectuer des Paiements par Carte Visa en Magasin ou en Ligne et de Retirer de L’argent aux Distributeurs

PARIS, France, 6 août 2013/African Press Organization (APO)/ — Orange (http://www.orange.com) lance une nouvelle gamme de services de paiement par téléphone mobile en collaboration avec Visa pour les abonnés Orange Money. Le Botswana sera le premier pays à bénéficier de cette nouvelle gamme de services qui permettra aux clients d’accéder facilement à leurs fonds 24h/24 et offrira aux clients de nouvelles options de transaction dans les points de vente, en ligne et dans les distributeurs automatiques.

Logo Orange: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/orange-logo.jpg

Actuellement, Orange Money offre aux clients la possibilité d’utiliser leurs téléphones mobiles pour transférer de l’argent à un autre client à l’intérieur ou à l’extérieur du pays, acheter du crédit téléphonique et payer ses factures.

Désormais, les abonnés Orange Money du Botswana pourront utiliser leur compte Orange Money pour effectuer des paiements par carte Visa et payer leurs achats dans les magasins et dans les commerces en ligne du monde entier, et pour effectuer des retraits d’argent dans plus de 300 distributeurs Visa du pays. Afin de bénéficier de cet éventail de services innovants, les abonnés Orange Money devront faire une demande de carte Visa Orange Money prépayée qui sera immédiatement liée à leur compte Orange Money. Cette carte, protégée par un code PIN, leur permettra d’utiliser les fonds dont ils disposent pour effectuer des paiements chez les commerçants et des retraits d’argent aux DAB. Les abonnés recevront également une carte Visa Orange Money prépayée virtuelle et sécurisée pour effectuer leurs achats en ligne.

La carte Visa Orange Money sera accessible à toutes les catégories de population : les personnes ne disposant pas d’un compte bancaire ou ayant un accès limité aux services bancaires, les populations ouvrières, les habitants des zones rurales, ainsi que les jeunes, les travailleurs indépendants et les étudiants.

Le Botswana est le premier pays au monde dans lequel cette nouvelle gamme innovante de services de paiement mobile améliorés sera lancée après l’annonce, en 2012, d’une collaboration entre Orange et Visa. D’autres pays d’Afrique et du Moyen-Orient qui proposent déjà les services Orange Money, proposeront progressivement la carte Visa Orange Money prépayée.

Hannes Van Rensburg, directeur des solutions numériques pour les pays émergents chez Visa a déclaré : “C’est une étape importante dans la stratégie d’inclusion financière de Visa et nous sommes ravis de lancer ce service avec Orange au Botswana. Ce programme contribuera à la révolution “mobile money” africaine, permettant à un plus grand nombre de personnes de profiter des avantages du système financier officiel.”

“Je suis fier d’annoncer le lancement du premier service au monde qui donnera accès aux personnes qui ne disposent pas d’un compte bancaire, à une carte Visa et à l’ensemble des services connexes, grâce à leur compte Orange Money. En unissant le côté pratique d’Orange Money à la portée du réseau de paiement mondial de Visa, nous sommes en mesure de proposer de nouvelles options de paiement nationales et internationales aux clients Orange Money,” a déclaré Thierry Millet, directeur du programme stratégique NFC et paiement mobile chez Orange.

Les pays en développement d’Afrique et du Moyen-Orient sont parmi les premiers pays ciblés par Orange et Visa pour déployer leurs produits et services prépayés conjoints, qui permettront de stimuler la croissance économique et l’inclusion financière en faisant migrer les dépenses en argent liquide vers le paiement électronique.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour France Télécom-Orange.

Contact presse :

Mylène Blin, [email protected], +33 1 44 44 93 93

Nicole Clarke, [email protected], +44 78 11 12 84 57

A propos d’Orange

Orange est l’un des principaux opérateurs de télécommunications dans le monde, avec un chiffre d’affaires de 43,5 milliards d’euros en 2012 et 168 000 salariés au 30 juin 2013, dont 103 000 en France. Présent dans 32 pays, le Groupe servait plus de 231 millions de clients au 30 juin 2013, dont 174 millions de clients du mobile et 15 millions de clients haut débit fixe dans le monde. Orange est également l’un des leaders mondiaux des services de télécommunications aux entreprises multinationales sous la marque Orange Business Services.

Orange est coté sur le NYSE Euronext Paris (symbole ORA) et sur le New York Stock Exchange (symbole ORAN).

Pour plus d’informations (sur le web et votre mobile) : www.orange.com, www.orange-business.com, www.orange-innovation.tv ou pour nous suivre sur Twitter : @presseorange.

Orange et tout autre produit ou service d’Orange cités dans ce communiqué sont des marques détenues par Orange ou Orange Brand Services Limited.

About Visa

Visa is a global payments technology company that connects consumers, businesses, financial institutions, and governments in more than 200 countries and territories to fast, secure and reliable electronic payments. We operate one of the world’s most advanced processing networks — VisaNet — that is capable of handling more than 30,000 transaction messages a second, with fraud protection for consumers and assured payment for merchants. Visa is not a bank and does not issue cards, extend credit or set rates and fees for consumers. Visa’s innovations, however, enable its financial institution customers to offer consumers more choices: pay now with debit, ahead of time with prepaid or later with credit products. For more information, visit corporate.visa.com

L’Afrique du Sud choisit Gemalto pour son programme national de carte d’identité électronique

AMSTERDAM, Pays-Bas, 5 juin 2013/African Press Organization (APO)/ — Gemalto (Euronext NL0000400653 GTO) (http://www.gemalto.com), leader mondial de la sécurité numérique, va fournir à l’imprimerie nationale d’Afrique du Sud (Government Printing Works – GPW) des cartes d’identité électroniques Sealys dans le cadre d’un programme national. GPW utilisera le logiciel embarqué sécurisé de Gemalto pour protéger les données personnelles du détenteur contenues dans le microprocesseur de la carte, à savoir la photo et les données biométriques, préservant ainsi leur intégrité. De plus, GPW a choisi le document Sealys haut de gamme sans contact, afin d’offrir aux citoyens le confort d’utilisation et une sécurité inégalée.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/gemalto.jpg

Photo: http://www.photos.apo-opa.com/index.php?level=picture&id=501 (At the bottom, from left to right: Mrs Fatima Chohan (Deputy Minister of Home Affairs), Mrs Naledi Pandor (Minister of Home Affairs), Mr Mkuseli Apleni (Director General of Home Affairs); At the top, from left to right: Sello Mmakau (DHA), Dereck Chaplin (Altech MD), Anthony Mbewu (GPW CEO), Pierre-Luc Arnaud (Gemalto)

Conçu pour moderniser et remplacer les documents d’identité papier classiques, le fameux « livret vert » d’Afrique du Sud, la nouvelle carte d’identité électronique Sealys sera proposée par le Ministère de l’Intérieur aux citoyens âgés de 16 ans et plus. Le gouvernement sud-africain lance ce programme pour améliorer la confiance dans les pièces d’identité officielles et pour préparer le déploiement d’un ensemble très complet de services gouvernementaux électroniques efficaces et pratiques.

Fort de son expérience et de sa participation dans plus de 80 programmes nationaux dans le monde, Gemalto fournit à GPW une carte d’identité électronique en polycarbonate, à la fois robuste et bénéficiant des technologies les plus avancées, spécifiquement conçue pour lutter contre la contrefaçon. De plus, la carte d’identité électronique Sealys intègre PKI et techniques d’authentification match-on-card permettant de vérifier simplement la conformité des données ainsi qu’une plateforme pérenne et sécurisée pour fournir une large gamme de services en ligne tels que l’authentification ou encore des signatures numériques avec valeur juridique.

« Gemalto a démontré sa capacité à fournir des documents d’identité électronique sécurisés en respectant des impératifs temps ambitieux, » déclare Anthony Mbewu, Directeur général de GPW. « Les prochaines étapes du programme de modernisation sont déjà en place, et nous avons confiance dans le savoir-faire de Gemalto et ses technologies de pointe pour nous aider dans nos aspirations futures.”

« Notre présence locale à Johannesburg constitue un atout essentiel pour garantir un partenariat stratégique avec GPW », déclare Ari Bouzbib, Directeur Commercial des programmes gouvernementaux en Afrique chez Gemalto. « Ce nouveau projet témoigne de l’accélération significative des initiatives d’eGouvernement sur le continent africain, où Gemalto a déjà contribué à un nombre important de programmes nationaux. »

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour Gemalto.

À propos de Gemalto

Gemalto (Euronext NL0000400653 GTO) (http://www.gemalto.com) est le leader mondial de la sécurité numérique avec un chiffre d’affaires 2012 de 2,2 milliards d’euros. Présent dans 43 pays, Gemalto emploie plus de 10 000 salariés travaillant depuis 83 bureaux et 13 centres de Recherche et Développement.

Nous nous développons au coeur du monde numérique en évolution rapide et constante. Des milliards de personnes à travers le monde revendiquent de plus en plus la liberté de communiquer, acheter, voyager, faire des transactions bancaires, se divertir et travailler – à tout moment et en tous lieux – de façon agréable et sûre. Gemalto répond à leurs demandes croissantes en matière de services mobiles personnels, paiement sécurisé, authentification des accès au « cloud », protection de l’identité et de la vie privée, services d’e-santé et d’e-gouvernement performants, billettique des transports urbains facile d’utilisation et applications M2M fiables. Nous développons des logiciels embarqués et des produits sécurisés que nous concevons et personnalisons. Nos plateformes logicielles et nos services gèrent ces produits, les données confidentielles qu’ils contiennent et les services sécurisés qu’ils rendent possibles pour les utilisateurs finaux.

Nos innovations permettent à nos clients d’offrir des services numériques de confiance et faciles d’utilisation à des milliards de personnes. Gemalto continue de croître avec le nombre grandissant d’utilisateurs de ses solutions pour interagir dans le monde numérique et mobile.

Pour plus d’informations, visitez nos sites http://www.gemalto.com/france, http://www.justaskgemalto.com, http://blog.gemalto.com, ou suivez @GemaltoFrance (http://twitter.com/gemaltofrance) sur twitter.

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