RDC – Attaque contre la MONUSCO (10 mai 2013)

PARIS, France, 10 mai 2013/African Press Organization (APO)/ — La France condamne avec fermeté l’attaque menée contre un convoi de la Mission de l’Organisation des Nations unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO) le 7 mai dernier dans la région de Bukavu et déplore vivement la mort d’un soldat pakistanais membre de la mission. Elle présente ses condoléances à la famille de la victime et aux autorités pakistanaises.

Nous appelons les autorités congolaises à tout mettre en œuvre pour identifier, arrêter et traduire en justice les responsables de cette attaque contre des casques bleus.

Nous saluons l’engagement des hommes et des femmes de la MONUSCO au service de la paix, dans des conditions particulièrement difficiles notamment du fait de l’action de groupes armés.

La France renouvelle son plein soutien à la MONUSCO, qui œuvre au rétablissement de la sécurité dans l’Est de la RDC.

L’Union Africaine lance un appel à la retenue et au dialogue en Guinée

ADDIS ABEBA, Ethiopie, 10 mai 2013/African Press Organization (APO)/ — La Présidente de la Commission de l’Union africaine (UA), Dr NkosazanaDlamini-Zuma, suit de près l’évolution de la situation en République de Guinée. Elle est particulièrement préoccupée par la tension qui prévaut sur le terrain et les actes de violence relevés lors des manifestations politiques autorisées.

La Présidente de la Commission appelle les parties guinéennesà la retenue et au sens des responsabilités, et leur demande de se conformer à la Déclaration sur la non-violence signée, le 23 avril 2013, par le Gouvernement, les partis politiques de l’opposition et ceux de la mouvance présidentielle. Elle les exhorte à œuvrer résolument à la préservation de la paix, de la sécurité et de la stabilité.

La Présidente de la Commission souligne la nécessité impérieuse pour les parties guinéennes d’engager sans délai le dialogue, dans un esprit de recherche de compromis dans l’intérêt supérieur de leur pays. Il s’agit, ce faisant, de créer des conditions propices à la tenue d’élections législatives libres, transparentes et crédibles, dont les résultats seront acceptés par tous les acteurs politiques et contribueront à l’approfondissement du processus démocratique en Guinée.

La Présidente de la Commission exprime le plein appui de l’UA au Collège des Facilitateurs coordonné par le Représentant Spécial du Secrétaire général des Nations unies en Afrique de l’Ouest, SaidDjinnit, dont la présence sur le terrain a déjà permis d’enregistrer quelques avancées de nature à désamorcer la tension et à faciliter le dialogue,et réitère l’engagement de l’UA à continuer à lui apporter le soutien requis pour l’aboutissement de ses efforts. Elle se félicite de l’interaction continue entre le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies, la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO)et la Commission de l’UA. Elle exprime sa disponibilité à entreprendre d’autres actions concertées en cas de besoin, pour contribuer à une solution rapide des questions en suspens en vue de l’organisation et du déroulement des élections législatives dans les meilleures conditions possibles au triple plan politique, technique et sécuritaire.

Le nouveau vice-président d’IFC Jean-Philippe Prosper promet un financement supplémentaire d’IFC dans des projets d’infrastructures au Sénégal

DAKAR, Sénégal, 10 mai 2013/African Press Organization (APO)/ — IFC, un membre du groupe de la Banque mondiale, augmentera ses investissements dans les infrastructures au Sénégal, et continuera à conseiller le gouvernement sur des partenariats public-privé dans le domaine des infrastructures et autres secteurs, a affirmé Jean-Philippe Prosper, vice-président d’IFC pour l’Afrique subsaharienne, l’Amérique latine et les Caraïbes. À l’occasion de son premier voyage depuis sa prise de fonction, M. Prosper a mis en avant le rôle essentiel du secteur privé dans la construction d’infrastructures en travaillant au coté des autorités nationales.

Au cours de sa visite à Dakar, M. Prosper a rencontré plusieurs hauts responsables du gouvernement, notamment le Président Macky Sall, le premier ministre Abdoul Mbaye, et le ministre des Finances Amadou Kane.

« IFC s’est engagé à aider le Sénégal à répondre à ses besoins en énergie, routes et autres infrastructures critiques. La stratégie d’IFC consiste à augmenter le capital privé investi dans des projets essentiels d’infrastructure et nous travaillerons donc avec le gouvernement à faciliter les partenariats public-privé et à réformer le cadre réglementaire applicable à l’énergie au Sénégal », a déclaré M. Prosper.

Parmi les grands projets dans lesquels IFC a déjà investi se trouvent la centrale électrique de Kounoune et la route à péage de Dakar-Diamniadio.

Le mois dernier, IFC a organisé avec le ministère des Finances un séminaire d’une semaine consacré aux PPP et destiné à des représentants du gouvernement, et IFC travaille avec le ministère des Finances et d’autres partenaires à identifier des projets de PPP prioritaires. De même, IFC, la Banque mondiale et le FMI travaillent avec le gouvernement du Sénégal à aider à réformer la Société nationale d’électricité du Sénégal (SENELEC).

Au cours de l’exercice 2012, le financement d’IFC en faveur de projets d’infrastructures et de ressources naturelles en Afrique a pour la première fois franchi la barre du milliard de dollars. Ce chiffre devrait augmenter au cours de l’exercice 2013. Au Sénégal, le travail d’IFC se concentre sur l’énergie, avec un financement en faveur d’un nouveau projet de production d’énergie, sur les réformes du climat d’investissement et sur l’accès au financement et le renforcement des capacités des PME. Le portefeuille d’IFC au Sénégal s’élève actuellement à 91 millions de dollars, notamment dans des projets de développement d’infrastructures et des projets visant à faciliter les échanges commerciaux et à favoriser la sécurité alimentaire.

La disparition et la dégradation des habitats naturels menacent les oiseaux migrateurs, entraînant des espèces sur la voie de l’extinction

NAIROBI, Kenya, 10 mai 2013/African Press Organization (APO)/ — La migration annuelle d’un nombre estimé à 50 milliards d’oiseaux – ce qui représente environ 19 % des 100 000 espèces d’oiseaux du monde – est l’une des plus grandes merveilles que nous offre la nature. Toutefois, les aires de rassemblement, essentielles à leur migration, sont en train de se dégrader ou bien disparaissent complètement.

Ces sites de plus en plus vulnérables, qui constituent des étapes le long des itinéraires de migration, permettent aux oiseaux de se reposer, de se nourrir et de se reproduire au cours de leurs cycles de migration annuels. Du fait de la dégradation croissante de ces sites, certaines espèces risquent de disparaître en l’espace d’une décennie, tandis que d’autres sont confrontées à des pertes de population s’élevant jusqu’à neuf pour cent chaque année.

La Journée mondiale des oiseaux migrateurs 2013, qui sera célébrée les 11 et 12 mai prochains dans plus de 65 pays, mettra en évidence l’importance des réseaux écologiques pour la survie des oiseaux migrateurs, les importants réseaux humains qui se consacrent à leur conservation, les menaces auxquelles sont confrontés les oiseaux et la nécessité d’une plus grande coopération internationale en faveur de leur conservation.

Les événements qui marqueront cette Journée mondiale des oiseaux migrateurs comprendront des festivals ornithologiques, des programmes éducatifs, des présentations, des projections de films et des excursions consacrées aux observations d’oiseaux.

« Je soutiens complètement la campagne mondiale visant à renforcer la sensibilisation aux menaces auxquelles sont confrontés les oiseaux migrateurs du fait de la destruction des habitats, de la surexploitation, de la pollution et du changement climatique » a déclaré Ban Ki-moon, Secrétaire général des Nations Unies. « Je fais appel à de plus grands efforts internationaux en faveur du rétablissement des populations d’oiseaux migrateurs et de leur préservation, et également en faveur des réseaux de sites nécessaires à leur survie, qui constituent une part importante d’un environnement dont nous dépendons tous ».

Lancée au Kenya en 2006, la Journée mondiale des oiseaux migrateurs est organisée par la Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (CMS) et l’Accord pour la conservation des oiseaux d’eau migrateurs d’Afrique-Eurasie (AEWA), deux traités intergouvernementaux de conservation de la vie sauvage administrés par le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).

De nombreux oiseaux migrateurs – tels que les grues, les cigognes, les oiseaux de rivage et les aigles – parcourent des milliers de kilomètres le long de voies de migration qui s’étendent sur plusieurs pays, plusieurs continents, voire le monde entier. Toutefois, les pressions résultant de la croissance démographique, d’une urbanisation rapide, de la pollution, du changement climatique et de l’utilisation non durable des zones naturelles, entraînent la disparition, la fragmentation et la dégradation des habitats naturels le long des itinéraires de migration des oiseaux, et mettent leur survie en péril.

Tout comme les systèmes humains de transport s’appuient sur tout un réseau de ports, d’aéroports et de routes, les oiseaux migrateurs sont tributaires des réseaux internationaux de sites naturels pour leur alimentation, leur sécurité, la reproduction et la mue – mais aussi pour servir d’aires de repos leur permettant de se ravitailler entre les aires de nidification et les autres aires.

Des sites tels que la mer des Wadden, appartenant à l’Allemagne, les Pays-Bas et Danemark, le Banc d’Arguin sur la côte Ouest de Mauritanie, la Bahia de Santa Maria au Mexique et les zones intertidales de la mer Jaune en Corée du Sud sont des aires de repos d’importance internationale pour les oiseaux d’eau migrateurs.

Les espèces d’oiseaux d’eau migrateurs qui sont tributaires des habitats intertidaux le long de la voie de migration Asie de l’Est-Australasie (EAAF) sont victimes d’un rapide déclin et font partie des oiseaux migrateurs les plus menacés de la planète. Le rythme accéléré de la mise en valeur des terres du littoral au sein de cette région densément peuplée est l’une des causes essentielles de ce déclin, tout particulièrement autour des zones littorales clés de transit de la mer Jaune.

Selon le rapport 2011 réalisé à la demande de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), les taux de déclin dans cette région sont parmi les plus élevés de tous les systèmes écologiques de la planète. Au moins 24 espèces d’oiseaux d’eau utilisant la voie de migration sont en voie d’extinction et de nombreuses autres espèces connaissent des pertes allant de cinq à neuf pour cent par an. Le rapport de l’UICN indique également qu’une espèce comme celle du Bécasseau spatule pourrait disparaitre en l’espace d’une décennie.

« Les oiseaux migrateurs et les défis auxquels ils sont confrontés soulignent sous bien des aspects les ambitions du multilatéralisme dans un monde globalisé – seuls les efforts joints des pays travaillant pour une cause commune peuvent assurer la survie et de la conservation des espèces », a déclaré Achim Steiner, Sous-secrétaire général des Nations Unies et Directeur exécutif du PNUE.

Il existe bien d’autres raisons justifiant la conservation des oiseaux migrateurs, ne serait-ce que leur beauté et leur comportement qui sont sources de joie et d’inspiration pour des millions et des millions de gens », a-t-il ajouté. « Mais ils font aussi partie de la trame complexe de la vie qui étaye les services écosystémiques estimés à des milliers de milliards de dollars, tandis que dans certains pays, y compris au Kenya, ils font partie du tourisme axé sur la nature, qui génère 10 pour cent du PIB. »

Cette année, la Journée mondiale des oiseaux migrateurs sera célébrée dans des pays qui partagent les voies de migration d’Afrique-Eurasie. Au Kenya, par exemple, un événement régional aura lieu sur les rives du lac Elementaita – qui fait partie des réseaux des lacs du Kenya – un réseau de sites dont dépendent 11 espèces d’oiseaux menacées à l’échelle mondiale.

Cette région comprend également 75 % de la population du Flamant nain, espèce quasi menacée, et le lac Elementaita est connu pour héberger l’une des plus importantes colonies reproductrices de Pélican blanc du monde. L’événement est organisé par le Kenyan Wildlife Service (KWS), en coopération avec les Secrétariats PNUE/CMS et PNUE/AEWA.

« Le message essentiel qui sous-tend la Journée mondiale des oiseaux migrateurs est que les pays, les organisations et les personnes du monde entier se consacrant à cette cause, ont besoin de travailler ensemble pour assurer que les oiseaux migrateurs puissent continuer à voyager, à se ravitailler et à atteindre leurs destinations », nous a confié Bradnee Chambers, Secrétaire exécutif de la CMS.

La campagne de la Journée mondiale des oiseaux migrateurs bénéficie de l’appui d’un nombre croissant de partenaires internationaux, notamment de BirdLife International, Wetlands International, du Secrétariat du Partenariat pour la Voie de migration d’Asie de l’Est-Australasie (EAAFP), du Conseil international de la Chasse et de la conservation du Gibier (CIC) et du PNUE.

Afin de protéger des aires de transit d’importance cruciale et d’œuvrer ainsi à la conservation des espèces d’oiseaux, des instruments sophistiqués tels que l’Outil Réseau de sites critiques (CSN) de l’AEWA aident à récapituler les connaissances actuelles concernant le réseau de sites utilisés par les oiseaux migrateurs dans la région d’Afrique-Eurasie.

Le Rapport sur le Réseau de sites pour les oiseaux d’eau dans la zone de l’AEWA, préparé par Wetlands International et BirdLife International sur la base des informations fournies par l’outil CSN, révèle que moins de la moitié des sites critiques des populations d’oiseaux d’eau de l’AEWA offre une protection adéquate.

« Ces informations, si elles sont mises à jour et constamment améliorées, peuvent considérablement contribuer aux efforts de conservation, mais elles peuvent également révéler d’inquiétantes lacunes comme l’a montré le récent rapport sur le réseau de sites », a indiqué Marco Barbieri, Secrétaire exécutif par intérim de l’AEWA. « Le plus grand défi, mis clairement en lumière par le rapport de l’AEWA, consiste dans le fait que les pays ont besoin d’intensifier leurs efforts pour combler les lacunes en termes de statut juridique de protection adéquat et de gestion de ces sites. »

AUTRES CITATIONS

« Très souvent, les oiseaux migrateurs sont soumis à d’énormes pressions justement là où ils sont le plus vulnérables. Les oiseaux qui se débattent pour atteindre les rivages marins atterrissent dans des lignes de filets interminables. De minuscules faucons se trouvent canalisés à travers des forêts pour être pris dans des pièges par milliers. Des oiseaux de rivages épuisés découvrent que les zones intertidales qu’ils utilisaient autrefois pour se ravitailler sont devenues mer de béton, ou bien ils volent en cercle, en proie à une grande fatigue, parce que leurs sites de perchage ont disparu » – Marco Lambertini, Directeur général, BirdLife International.

« Ce qui importe vraiment pour eux (les oiseaux d’eau de la Voie de migration Asie de l’Est-Australasie) est que le réseau des sites dont ils dépendaient traditionnellement pour leur sécurité, leur alimentation, leur reproduction et leurs périodes de mue sont en transformation rapide, et souvent pour le pire. Les zones littorales intertidales de l’Asie de l’Est ont connu un déclin abrupt et rapide au cours de ces dernières décennies, menaçant les itinéraires de migration des oiseaux de rivage migrateurs » – Spike Millington, Directeur général du Secrétariat du Partenariat de la Voie de migration d’Asie de l’Est-Australasie (EAAFP).

« Les oiseaux d’eau migrateurs sont des ambassadeurs spectaculaires et séduisants des zones humides. Ils relient les personnes à travers la planète et les inquiétudes au sujet de leur conservation ont joué un rôle important dans la création de notre organisation » – Jane Madgwick, Directrice générale, Wetlands International.

« L’une des certitudes au sujet du changement climatique est qu’aucune espèce ni aucun habitat n’est à l’abri de ses effets. C’est pourquoi les efforts pour répondre aux défis posés par le changement climatique et ceux pour protéger la migration des oiseaux sont profondément entremêlés. Des calendriers de migration décalés (liés à l’élévation des températures), des schémas de vol modifiés (du fait d’écosystèmes changeant) et des populations d’oiseaux réduites (dues aux conditions climatiques extrêmes et à la sécheresse) : tous ces aspects fournissent d’amples preuves que le changement climatique affecte déjà les oiseaux migrateurs » – Christiana Figueres, Secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations Unies sur le changement climatique (CCNUCC).

« Les espèces migratrices sont intéressantes parce qu’elles mettent en lumière quelques unes de nos propres contradictions. Nous aspirons constamment à nous déplacer librement tout autour du monde, alors que nous faisons tout le contraire pour les oiseaux migrateurs. Nous mettons constamment des obstacles entravant leurs itinéraires et nous rendons leurs voyages de plus en plus compliqués. C’est en fait la nature qui dicte les déplacements de ces espèces et nous avons tendance à oublier que, nous aussi, nous faisons partie de cette nature et devrions un peu mieux écouter ses règles » – Jean-Christophe Vié, Directeur adjoint, Programme mondial de l’UICN sur les espèces et Directeur de SOS – Save Our Species (Sauvons nos espèces).

D’autres déclarations sur la Journée mondiale des oiseaux migrateurs 2013 peuvent être consultées à l’adresse suivante :

http://www.worldmigratorybirdday.org/statements/

Le Chef de la MISMA rencontre les organes électoraux nationaux indépendants du Mali et réitère le soutien de l’UA et de la CEDEAO au processus de Transition malien

ADDIS ABEBA, Ethiopie, 10 mai 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Représentant spécial de la Présidente de la Commission de l’Union africaine (UA) et chef de la Mission internationale de soutien au Mali (MISMA), l’ancien Président Pierre Buyoya, a réitéré le soutien de l’Union africaine et de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) à la transition politique en cours au Mali. Le Président Buyoya s’exprimait à Bamako, le 09 mai 2013, lors d’une visite à la Délégation Générale aux Elections du Mali (DGE) et à la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).

Le Représentant spécial et les responsables électoraux maliens ont discuté des préparatifs pour les prochaines échéances électorales au Mali, qui débuteront avec les élections présidentielles en juillet 2013. Les questions suivantes ont été abordées au cours des deux réunions: le rôle crucial de la MISMA à l’appui des efforts déployés par les autorités maliennes pour sécuriser le processus électoral ; les mesures en cours pour s’assurer que les Maliens déplacés à l’intérieur du pays et dans les pays voisins ont la possibilité d’exercer librement et pleinement leur droit de vote ; les rapports de travail entre les responsables électoraux du Mali et d’autres parties prenantes, notamment le gouvernement, les partis politiques et la société civile ; et la nécessité de renforcer la sensibilisation des électeurs en vue d’accroître la confiance des Maliens dans le système politique de leur pays et d’élever le taux de participation afin de renforcer la crédibilité des élections.

« Des élections libres, justes et transparentes sont une composante essentielle de la solution à la crise multiforme au quelle fait face le Mali. À cet égard, l’UA et la CEDEAO ne ménageront aucun effort pour aider le Mali à organiser des élections crédibles, selon le calendrier électoral élaboré par le gouvernement malien. Notre apport comprendra, entre autres, un soutien financier et des experts, ainsi que les bons offices et le déploiement d’observateurs électoraux », a-t-il déclaré.

Se félicitant de la visite du Représentant spécial, le Délégué général aux élections, le Général Siaka Sangaré, a reconnu que dans le contexte politique africain contemporain, il ne suffit plus d’être élu ; les dirigeants politiques doivent être clairement perçus et acceptés comme ayant été bien élu. Il a exprimé sa gratitude à la MISMA, l’UA et la CEDEAO pour leur soutien au processus électoral au Mali, et a promis que la DGE fera tout pour assurer l’organisation des élections crédibles dans les prochains mois. En ce qui concerne le calendrier électoral du pays et d’autres questions importantes liées aux élections, le Délégué général a déclaré:

«Nous sommes bien partis pour organiser des élections présidentielles crédibles en juillet. Le fichier électoral biométrique que nous sommes en train de mettre à jour sera mis en ligne. Tous les Maliens, y compris les représentants des partis politiques, les organisations de la société civile et les citoyens pourront librement consulter ce fichier. Des mesures seront prises pour s’assurer que les réfugiés et les personnes déplacées ont une chance égale d’exercer leur droit de vote.»

A la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), le président Buyoya a été reçu par les 15 membres de la Commission, qui comprend 10 représentants des partis politiques (dont un parti d’opposition) et 5 représentants de la société civile (y compris les organisations religieuses, le Barreau et l’Association des magistrats). Toutes les régions géographiques du Mali (y compris Kidal, Gao et Tombouctou) sont représentées au sein de la Commission.

Le Président Buyoya a observé qu’il n’y a qu’une seule femme parmi les 15 membres de la Commission Electorale Nationale Indépendante, et a encouragé les autorités maliennes à œuvrer pour une plus grande exclusivité politique.

Le Président de la CENI, M. Mamadou Diamoutani, a dit que la Commission est «le garant moral » du processus électoral. Il a identifié les problèmes auxquelles est confrontée la Commission et s’est dit satisfait du soutien et de la collaboration que son institution reçoit du gouvernement. « Nous ferons tout notre possible pour assurer la crédibilité des prochaines élections au Mali, » a-t-il promis.

Le Représentant spécial Buyoya, au nom de l’UA et de la CEDEAO, a félicité et encouragé les deux organes, et a promis de revenir bientôt.

Déplacement du Vice-Ministre des Affaires étrangères Xie Hangsheng aux Seychelles et signature d’un accord sino-seychellois d’exemption mutuelle de visas

BEIJING, Chine, 10 mai 2013/African Press Organization (APO)/ — Les 5 et 6 mai 2013, le Vice-Ministre des Affaires étrangères Xie Hangsheng a effectué une visite aux Seychelles et signé, au nom du gouvernement chinois, un accord sur l’exemption mutuelle de visas entre les deux pays.

Durant sa visite, Xie Hangsheng a été reçu en audience par le Président James Alix Michel et le Vice-Président Danny Faure des Seychelles et s’est entretenu avec le Ministre seychellois des Affaires étrangères Jean-Paul Adam. Xie Hangsheng s’est félicité du bon développement des relations et de la coopération sino-seychelloises qui, selon lui, ont apporté de réels bénéfices aux populations des deux pays et donné un parfait exemple du traitement d’égal à égal, de la solidarité sincère et de la coopération gagnant-gagnant entre les différents pays, qu’ils soient grands ou petits. La partie seychelloise a qualifié la Chine d’ami sincère et estimé que la Chine soutenait véritablement l’égalité entre tous les pays du monde, quelle que soit leur taille. Remerciant la Chine pour ses aides et son soutien durant de longues années, les Seychelles ont exprimé leur volonté de travailler ensemble avec la Chine à approfondir la relation bilatérale et à renforcer davantage la coopération.

A l’issue de leur entretien, le Vice-Ministre Xie Hangsheng et le Ministre Adam ont signé l’Accord entre le gouvernement de la République populaire de Chine et le gouvernement de la République des Seychelles sur l’exemption mutuelle de visas et rencontré ensemble la presse. Le Ministre Adam a qualifié l’accord de jalon dans les relations sino-seychelloises et estimé qu’il permettrait de faciliter les flux humains et les échanges entre les deux pays. Selon Xie Hangsheng, un nouveau chapitre s’ouvre dans les annales des relations bilatérales et les deux parties doivent saisir l’occasion pour promouvoir concrètement l’amitié et la coopération entre la Chine et les Seychelles.

Xie Hangsheng a souligné que le Ministère chinois des Affaires étrangères, dans l’esprit de servir le peuple, veillait à ce que les ressortissants chinois puissent se déplacer à l’étranger dans les meilleures conditions et rentrer au pays en toute sécurité. Selon lui, l’accord signé avec les Seychelles est le premier accord d’exemption de visas couvrant tous types de passeports conclu entre la Chine et un pays africain, et les efforts chinois se poursuivront pour faciliter le déplacement des citoyens chinois à l’étranger.

L’Ambassadeur Shi Zhongjun et le Secrétaire principal du Ministère seychellois des Affaires étrangères Maurice Loustau-Lalanne ont assisté à l’entretien et à la signature de l’accord qui entrera en vigueur une fois les procédures législatives accomplies dans les deux pays et qui permettra aux citoyens de chacun des deux pays, munis d’un passeport en cours de validité, de se rendre sans visa à l’autre pays pour un séjour ne dépassant pas 30 jours.

Le Canada appuie la bonne gouvernance en Afrique du Sud

LE CAP, Afrique du Sud, 10 mai 2013/African Press Organization (APO)/ — Les Canadiens et les Sud-Africains croient qu’il est possible d’assurer le développement durable au moyen d’une bonne gouvernance. Aujourd’hui, lors d’une cérémonie de signature avec Pravin Gordhan, ministre sud-african des Finances, l’honorable Julian Fantino, ministre de la Coopération internationale, a annoncé un nouveau projet visant à aider le gouvernement de l’Afrique du Sud à renforcer les institutions publiques qui sont capables d’offrir des services de qualité à la population.

Le ministre Julian Fantino a conclu un accord avec le ministre des Finances de l’Afrique du Sud, Pravin Gordhan, visant à accroître le soutien du Canada en faveur de l’amélioration du rendement des organismes gouvernementaux sud-africains.

« Je suis heureux d’être en Afrique du Sud pour annoncer cette initiative stratégique, qui s’inscrit dans la tradition d’une coopération technique fructueuse entre le Canada et l’Afrique du Sud et qui fait ressortir la relation importante qu’entretiennent les deux pays, a affirmé le ministre Fantino. Le soutien du Canada aidera le gouvernement de l’Afrique du Sud à répondre aux besoins de sa population. Il permettra également de réaliser des progrès économiques et sociaux en Afrique du Sud, ce qui est important non seulement pour les Sud-Africains, mais aussi pour tout le continent. »

Le développement prometteur réalisé en Afrique du Sud au cours des dernières années a transformé le lien entre ce pays et le Canada. Il ne s’agit plus d’une relation d’aide, mais d’un partenariat. L’annonce stratégique d’aujourd’hui permettra d’assurer que les investissements historiques en matière de développement en Afrique du Sud et dans la région avoisinante seront soutenus par un système national robuste dans l’avenir. Le projet intitulé « Édification d’un État compétent », réalisé par l’entremise de l’Unité de l’assistance technique du Trésor national du gouvernement sud africain, soutiendra la prestation de services publics de qualité à la population, en particulier aux groupes marginalisés. Ce projet visera également à renforcer la responsabilisation du gouvernement en offrant de la formation et un soutien technique aux ministères pour aider ceux-ci à élaborer leurs politiques, à gérer les services à la population et à faire le suivi de leur rendement. Le projet sera mis en œuvre en collaboration avec le ministère sud-africain de la Surveillance et de l’Évaluation de la performance du Bureau du président.

Le Plan d’action économique 2013 du Canada concrétise l’engagement du pays à l’égard des investissements en développement international dans des secteurs comme la bonne gouvernance. Le nouveau ministère des Affaires étrangères, du Commerce et du Développement conservera le mandat de réduction de la pauvreté. La fusion permettra au gouvernement canadien de continuer d’apporter une aide plus efficace, plus transparente et mieux ciblée pour améliorer le sort des populations démunies à l’échelle de la planète.

Le ministre Fantino fait la promotion du leadership canadien en matière d’exploitation responsable des ressources en Afrique

LE CAP, Afrique du Sud, 10 mai 2013/African Press Organization (APO)/ — L’honorable Julian Fantino, ministre de la Coopération internationale, a participé aujourd’hui à une réunion régionale du Forum économique mondial au Cap, en Afrique du Sud, pour soutenir le leadership du Canada en matière d’exploitation responsable des ressources afin d’aider les Africains les plus démunis à progresser vers la prospérité. Cet événement a tiré parti du succès qu’a connu la Conférence sur l’optimisation de la valeur des industries extractives pour le développement, coprésidée par le ministre Fantino et le Forum économique mondial, à Toronto, en mars dernier.

« Si elles sont gérées de manière responsable, les ressources extractibles peuvent stimuler une croissance économique durable, la création d’emplois et l’élimination de la pauvreté dans les pays en développement, a déclaré le ministre Fantino. Possédant 10 % des réserves de pétrole prouvées dans le monde, 40 % des réserves d’or et jusqu’à 90 % des réserves de chrome et de platine, l’Afrique est dans une position unique pour récolter les fruits d’une gestion responsable des ressources naturelles. »

Le ministre Fantino s’est joint à des dirigeants de pays africains, d’organisations non gouvernementales et d’entreprises du secteur des ressources extractibles à la réunion du Forum économique mondial. Les discussions ont été axées sur une compréhension commune de la valeur de l’exploitation des ressources naturelles, sur la façon d’améliorer la transparence, et sur les moyens permettant de bâtir des relations plus étroites entre les groupes de la société civile, les gouvernements et les entreprises privées.

Le ministre Fantino a présenté les nombreux moyens dont le Canada dispose pour aider les pays en développement en Afrique, comme l’Institut canadien international pour les industries extractives et le développement, de même que le nouveau Centre africain de développement de l’industrie minière, chargé de mettre en œuvre la vision du régime minier africain. Le Centre fournira un soutien technique et un appui en matière de politiques aux pays africains qui veulent maximiser les avantages que leur procure leur richesse en ressources.

Le Canada est l’un des principaux promoteurs de l’Initiative pour la transparence dans les industries d’extraction (ITIE). Le 4 octobre 2012, le premier ministre Harper avait annoncé que le Canada appuyait le gouvernement de la Tanzanie afin de l’aider à respecter la norme mondiale établie par l’ITIE. Cette initiative oblige les entreprises extractives en Tanzanie à publier les renseignements au sujet des montants qu’ils versent aux gouvernements, et oblige les gouvernements à divulguer ce qu’ils reçoivent de la part de ces entreprises.

« Par l’intermédiaire de la vision du régime minier africain, les dirigeants du continent ont clairement indiqué qu’ils veulent gérer leurs ressources de manière responsable et transparente, a déclaré le ministre Fantino. L’appui du Canada en faveur de l’établissement d’un secteur de l’extraction responsable les aidera à atteindre leur but commun, à savoir permettre à l’Afrique de devenir un continent prospère et autonome. »

Le Plan d’action économique de 2013 réaffirme l’engagement du Canada à l’égard des investissements en développement international pour stimuler une croissance économique durable. Le nouveau ministère des Affaires étrangères, du Commerce et du Développement conservera le mandat de réduction de la pauvreté et rendra l’aide humanitaire plus efficace, davantage transparente et mieux ciblée pour continuer d’améliorer la vie des gens démunis à l’échelle planétaire.

GSK et Save the Children forment un partenariat unique pour sauver la vie d’un million d’enfants

LONDRES, Royaume-Uni, 10 mai 2013/African Press Organization (APO)/ —

– Les deux organisations collaborent pour accélérer la disponibilité de deux médicaments pour enfants et créent un conseil commun de R&D pour lutter contre les causes de mortalité des nourrissons et des nouveaux-nés.

– Le partenariat déploiera initialement deux programmes phares en Afrique subsaharienne – en République démocratique du Congo et au Kenya.

Un nouveau partenariat ambitieux destiné à sauver la vie d’un million d’enfants parmi les plus pauvres du monde a été lancé par GSK (http://www.gsk.com) et Save the Children. Dans le cadre de cette collaboration unique, les deux organisations travailleront ensemble d’une manière très différente, partageant leurs compétences, ressources, portée et influence pour lutter contre certaines des principales causes de mortalité infantile.

Logo GSK and Save the Children : http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/gsk-stc.jpg

Télecharger la vidéoinfographie (anglais) : http://www.apo-mail.org/GSK_STC_InteractiveV15.pdf

Les initiatives clés incluent la transformation d’un antiseptique utilisé dans un bain de bouche en un produit permettant de sauver la vie de nouveaux-nés, ainsi que le déploiement d’un antibiotique en poudre sous forme de doses adaptées aux enfants pour aider à lutter contre la pneumonie – l’une des principales causes de décès des enfants de moins de cinq ans.

Pour la première fois, Save the Children aidera GSK à rechercher et développer des médicaments pour enfants, siégeant au nouveau conseil de R&D pédiatrique constitué pour accélérer la progression d’interventions innovantes destinées à sauver la vie d’enfants de moins de cinq ans, et pour identifier des moyens d’assurer l’accès le plus large possible dans le monde en développement. GSK pourra tirer profit de l’expertise de Save the Children en matière de santé infantile et de son expérience sur le terrain pour fournir des soins de santé de base aux enfants des communautés les plus éloignées et les plus marginalisées.

Le partenariat entre GSK et Save the Children visera également à étendre la couverture vaccinale aux enfants les plus pauvres, en augmentant les investissements dans le personnel de santé, ainsi qu’en développant des produits nutritionnels à bas prix pour aider à combattre la malnutrition infantile.

Les programmes phares seront initialement déployés en République démocratique du Congo et au Kenya. Ils feront l’objet d’un suivi étroit et les informations sur la manière de sauver la vie d’enfants à grande échelle seront utilisées pour reproduire les programmes dans d’autres pays en Afrique subsaharienne, en Asie et en Amérique latine.

Alors que des grands progrès ont été réalisés au cours des dernières années, près de sept millions d’enfants sont décédés en 2011 à cause d’un manque d’accès aux soins de santé de base, aux vaccins et à des aliments nutritifs. Par le biais de telles initiatives, le partenariat vise à contribuer à sauver la vie d’un million d’enfants au cours des cinq prochaines années.

Justin Forsyth, directeur général de Save the Children, a déclaré : « Ce partenariat révolutionnaire implique la collaboration des deux organisations pour trouver des méthodes réellement nouvelles permettant de sauver la vie d’un million d’enfants. Par le passé, Save the Children ne se serait peut-être pas embarquée dans une collaboration avec une société pharmaceutique telle que GSK. Mais nous sommes convaincus que nous pouvons apporter d’énormes bénéfices aux enfants si nous exploitons le pouvoir de l’innovation, de la recherche et de la portée mondiale de GSK. »

Sir Andrew Witty, PDG de GSK, a affirmé : « Un partenariat de cette ampleur nous donne l’opportunité d’accomplir quelque chose d’extraordinaire – sauver la vie d’un million d’enfants et transformer la vie d’un autre million. Chez GSK, nous sommes déterminés à développer des médicaments innovants permettant de sauver des vies et à les apporter aux personnes qui en ont besoin. En conjuguant nos forces avec Save the Children, nous pouvons amplifier ces efforts pour donner un nouvel élan permettant de changer les choses et d’empêcher la mort d’enfants due à des maladies évitables. J’espère que ce partenariat inspire les employés de GSK et fixe de nouvelles normes sur la façon dont les sociétés et les ONG peuvent travailler ensemble pour atteindre un objectif commun. »

Les principales caractéristiques de ce partenariat sont :

• La reformulation de la chlorhexidine antiseptique – présente dans le bain de bouche Corsodyl de GSK – pour nettoyer le cordon ombilical des nouveaux-nés afin d’empêcher les infections graves, une cause majeure de décès des nouveaux-nés des pays pauvres. Les études menées en Asie du Sud suggèrent que cette simple intervention pourrait éviter jusqu’à 1 décès sur 6 dans les milieux à faibles ressources.

• La recherche pour accélérer l’homologation d’un antibiotique pour enfants, utilisé pour traiter la pneumonie – qui tue actuellement 1,4 million d’enfants de moins de cinq ans, dans les pays affichant un taux élevé de la maladie. Il sera développé dans des packs de doses adaptées aux nourrissons et aux jeunes enfants. GSK travaillera également avec Save the Children pour étudier la reformulation d’une composition adaptée aux enfants dans des endroits où l’accès à l’eau et au lait est problématique.

• La recherche pour étendre la couverture vaccinale aux communautés les plus difficiles à atteindre : par exemple par le biais d’une plus grande utilisation des solutions de technologie mobile, pour envoyer des messages-texte rappelant aux parents de consulter les services de vaccination et pour fournir au personnel de santé et aux installations médicales des smartphones leur permettant de consigner et de programmer les vaccinations.

• La recherche de nouveaux produits nutritifs abordables luttant contre le fléau de la malnutrition – la cause sous-jacente d’un décès sur trois d’enfants de moins de cinq ans. Une équipe de projet conjointe entre GSK et Save the Children au Kenya enquête actuellement sur le développement d’un produit nutritif à bas prix pour les familles les plus pauvres.

• La conduite de recherches sur le personnel de santé dans les communautés les plus pauvres, poursuivant une collaboration existante entre GSK et Save the Children pour aider à répondre au manque d’au moins 3,5 millions de travailleurs de la santé qualifiés, capables d’administrer les vaccins et les médicaments de base aux nourrissons et aux jeunes enfants, de fournir des conseils de santé et de traiter la malnutrition.

• L’utilisation des programmes nationaux phares initialement en République démocratique du Congo (RDC) et au Kenya pour inclure ces interventions, qui feront l’objet d’un suivi et d’une évaluation étroits pour déterminer comment le partenariat permet de sauver des vies avant de déployer à plus grande échelle et de reproduire les programmes dans d’autres pays en développement.

• Le développement d’un plan directeur sur la manière dont les entreprises peuvent fournir de meilleurs résultats sociaux en s’engageant sur des problèmes de santé et de développement et en poursuivant des efforts de sensibilisation visant à assurer qu’une focalisation sur la santé et le bien-être des enfants soit maintenue dans les discussions mondiales en matière de politique de santé.

• L’inspiration et l’engagement de la main-d’œuvre mondiale de GSK pour aider à sensibiliser les populations par le biais du bénévolat et de la collecte de fonds, avec l’ambition d’encourager les employés à recueillir 1 million de livres sterling par an, qui seront compensés par GSK. Par le biais de cette initiative et d’autres dons de charité à Save the Children, GSK s’est engagée à verser au moins 15 millions de livres sterling au cours de ce partenariat. Des contributions supplémentaires seront versées dans le cadre de recherches et de programmes de développement spécifiques.

Save the Children et GSK collaborent depuis huit ans sur plusieurs projets de santé publique, y compris l’initiative de GSK consistant à réinvestir 20 % des bénéfices qu’elle génère dans les pays les moins développés dans des programmes visant à renforcer les infrastructures de santé, principalement par le biais de la formation de travailleurs de santé communautaires.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour GlaxoSmithKline (GSK).

Contenu multimedia:

GSK and Save the Children Partnership — Multimedia (All)

http://storycentral.savethechildren.org.uk/?c=17672&k=8f42799a34

GSK and Save the Children Partnership — Multimedia (Photos)

http://storycentral.savethechildren.org.uk/?c=17670&k=06dbab1e8e

GSK and Save the Children Partnership — Multimedia (B-roll)

http://storycentral.savethechildren.org.uk/?c=17671&k=26fcd0e510

GlaxoSmithKline (http://www.gsk.com), un géant mondial de la recherche pharmaceutique et de la fabrication de produits de soins de santé, s’est engagée à améliorer la qualité de la vie en aidant chacun à être plus actif, à se sentir mieux et à vivre plus longtemps. Pour tout complément d’information, rendez-vous à l’adresse : www.gsk.com

Save the Children – Save the Children travaille dans plus de 120 pays et aide à sauver la vie des enfants, se bat pour leurs droits et les aide dans leur épanouissement. Pour tout complément d’information, rendez-vous à l’adresse : www.savethechildren.org.uk

Contacts au sein de GlaxoSmithKline :

Contacts auprès des médias au Royaume-Uni :

David Mawdsley +44 (0) 20 8047 5502 (Londres)

David Daley +44 (0) 20 8047 5502 (Londres)

Catherine Hartley +44 (0) 20 8047 5502 (Londres)

Sarah Hornby +44 (0) 20 8047 5502 (Londres)

Contacts auprès des médias aux États-Unis :

Stephen Rea +1 215 751 4394 (Philadelphie)

Melinda Stubbee +1 919 483 2510 (Caroline du Nord)

Mary Anne Rhyne +1 919 483 0492 (Caroline du Nord)

Contacts auprès des analystes/investisseurs :

Ziba Shamsi + 44 (0) 20 8047 3289 (Londres)

Lucy Budd +44 (0) 20 8047 2248 (Londres)

Tom Curry + 1 215 751 5419 (Philadelphie)

Gary Davies + 44 (0) 20 8047 5503 (Londres)

James Dodwell + 44 (0) 20 8047 2406 (Londres)

Jeff McLaughlin + 1 215 751 7002 (Philadelphie)

Contacts auprès de Save the Children :

Contacts auprès des médias :

Jo Campbell +44 (0) 20 7012 6841 (Londres)

[email protected]

Emily Sharman +44 (0) 20 7012 6841 (Londres)

[email protected]

Mise en garde concernant les énoncés prospectifs

GSK met les investisseurs en garde contre le fait que les énoncés prospectifs ou prévisionnels formulés par GSK, y compris ceux contenus dans le présent communiqué, sont assujettis à des risques et à des incertitudes qui pourraient entraîner un écart sensible entre les résultats réels et ceux attendus. Les facteurs susceptibles d’avoir des répercussions sur les activités de GSK sont décrits dans la section 3.D. « Facteurs de risque » du rapport annuel de la société pour 2012 sur le formulaire 20-F.

Enregistré en Angleterre et au Pays de Galles :

No. 3888792

Siège social :

980 Great West Road

Brentford, Middlesex

TW8 9GS

LE PAPE FRANÇOIS REÇOIT LE PAPE TAWADROS II

VATICAN, Saint-Siège, 10 mai 2013/African Press Organization (APO)/ — Ce matin, le Saint-Père a reçu le Patriarche d’Alexandrie SS Tawadros II, Pape des coptes orthodoxes, dont la visite romaine « renforce les liens d’amitié et de fraternité unissant le Siège de Pierre et celui de Marc, héritier d’un inestimable patrimoine de saints et de martyrs, de théologiens et de grands disciples du Christ qui de génération en génération ont témoigné de l’Evangile, souvent dans un contexte difficile ». Puis il a rappelé la rencontre en 1973 de Shenouda III et Paul VI, qui par leur baiser de paix mirent un terme à des siècles de rejet réciproque. La déclaration christologique qu’ils avaient signée a constitué « une pierre milliaire du cheminement oecuménique » et la base de « la commission pour le dialogue entre les deux Eglises, qui a donné de bons résultats et préparé le terrain  » à un dialogue plus large de l’Eglise catholique avec les Eglises orthodoxes d’Orient. Dans la déclaration commune de 1973, « nos Eglises ont reconnu, dans la ligne de leurs respectives traditions apostoliques, confesser une foi unique dans un Dieu Un et Trine, dans la divinité du Fils unique incarné de Dieu…, reconnaître un Dieu parfait en vertu de sa divinité et un homme parfait en vertu de son humanité. Nous avons ainsi reconnu que la vie divine est donnée et alimentée par le biais des sept sacrements, ainsi que notre commune vénération de la Mère de Dieu… Et nous sommes heureux de nous reconnaître unis dans un même et unique baptême qu’exprime notre prière pour que s’accomplisse un jour le voeu du Seigneur et notre communion au même calice… Sous la conduite de l’Esprit, notre prière persévérante, notre dialogue et notre volonté de bâtir peu à peu notre communion dans l’amour, nous permettrons d’avancer à grands pas vers la pleine unité ».

Puis le Pape François à remercié son hôte de l’attention qu’il porte à l’Eglise copte catholique, notamment manifestée par la création d’un Conseil national des Eglises chrétiennes d’Egypte comme « signe éloquent de la volonté de tous les fidèles du Christ de développer quotidiennement des relations plus fraternelles et de se mettre au service de la société toute entière… Vos efforts en faveur de la communion entre les chrétiens comme votre grande attention au sort de l’Egypte et à la place des communautés chrétiennes dans la société vont droit au coeur du Successeur de Pierre et de toute l’Eglise catholique. Si un membre, tous les autres s’en ressentent, et un membre est honoré, tous les autres se réjouissent avec lui. C’est une loi de la vie chrétienne, d’autant qu’il existe un oecuménisme de la souffrance. Comme le sang des martyrs a été la semence et la force fertilisante de l’Eglise, le partage des difficultés peut devenir un instrument efficace d’unité. Ceci est d’une certaine façon également vrai dans le cadre plus large de la société et des rapports entre chrétiens et non chrétiens. Avec l’aide de Dieu, d’une souffrance partagée peuvent fleurir le pardon, la réconciliation et la paix ». En conclusion, il a invoqué la commune protection des saints Pierre et Marc.