Le fabricant d’ordinateur chinois Lenovo, a signé un accord lui permettant d’examiner les comptes du fabricant canadien de smartphones BlackBerry, rapporte le Wall Street Journal en citant des sources non identifiées.
BlackBerry, en grande difficulté, a annoncé en août étudier diverses options stratégiques y compris une vente. Ses actions ont augmenté de 4 pour cent après que le Wall Street Journal a signalé l’intérêt de Lenovo.
Plusieurs sources proches du dossier ont déclaré à Reuters que BlackBerry est en contact avec Cisco Systems, Google et SAP AG sur la vente de toute ou d’une partie de la société. Les acheteurs potentiels ont tous refusé de commenter.
Aucune de ces sociétés de technologie ont encore fait une offre formelle pour BlackBerry. Toutefois, les experts de l’industrie croient que, bien que ces joueurs puissent ne pas être intéressés par l’ensemble de BlackBerry, ils sont désireux d’au moins quelques morceaux qui s’accordent bien avec le développement de leur propre entreprise.
En vertu de la Loi sur Investissement Canada, le gouvernement fédéral a le droit de veto sur toute prise de contrôle étrangère d’un actif ou de la société canadienne si elle estime qu’un tel accord ne serait pas apporter un «avantage net» pour le pays, ou si elle croit qu’un accord pourrait poser une menace pour la sécurité nationale.
Un porte-parole de Lenovo a refusé de commenter sur ces nouvelles.