Jeudi dernier, le gouvernement britannique a donné son accord au parlement pour une technique de procréation assistée dans laquelle l’ADN de trois parents est utilisé afin de créer un embryon en bonne santé.
Cette nouvelle technique a pour objectif d’éviter que les mères transmettent à leur bébé des maladies génétiques graves, telles que des dystrophies musculaires, en remplaçant leur ADN mitochondrial défectueux par de l’ADN sain, provenant d’un « troisième parent ».
Ce débat aurait lieu l’année prochaine au parlement. Sally Davies, principale conseillère du gouvernement pour les questions de santé publique a déclaré: « Nous sommes tout à fait en droit de chercher à lancer dès que possible un traitement qui sauve des vies ».

