C’est lors du discours donné par le président provisoire de la République, Moncef Marzouki, prononcé à l’occasion du redémarrage du dialogue national initié par l’UGTT ce jeudi 16 mai au Palais des Congrès, que les hommes politiques, médias et associations attendaient un message ciblant leur préoccupation première.
Sauf que suite aux positions exprimées par Moncef Marzouki autour de quelques sujets épineux dont notamment les étudiantes portant le niqab aux universités, les relations diplomatiques avec la Syrie, le dossier des terroristes tunisiens en Algérie, la nécessité de respecter les salafistes et son soutien à ce qu’ils exercent leur droit de citoyenneté…
Nombre de personnalité publiques comme Jawhar Ben Mbarek, coordinateur général du réseau Doustourna et Emna Mnif, présidente de l’association Kolna Tounes, ainsi que des députés à l’ANC ont fustigé les propos et les accusations lancés par Moncef Marzouki.
Voici un extrait où les réactions du public divergent et convergent selon l’intérêt de chacun :