La Chine a lancé lundi une campagne de répression à plusieurs applications d’actualités mobiles qui fournissent des services d’information d’actualité, sans l’approbation des organismes de réglementation gouvernementaux.
La décision vient suite à une campagne gouvernementale visant à freiner les rumeurs en ligne.
Le Bureau d’information Internet de l’Etat a déclaré que certaines des applications d’actualités ont réalisé « la pornographie et les informations obscènes et nuire à la santé physique et mentale des jeunes », et d’autres ont publié des fausses informations.
Certaines applications d’actualités mobiles offrent un canal pour les abonnés en Chine pour lire les articles publiés par les médias étrangers dont les articles qui ont été bloqués en Chine, tels que le New York Times.
Le gouvernement va fermer et d’interdire ceux qui refusent de corriger « pour maintenir l’ordre de la diffusion de nouvelles sur l’Internet mobile. »
Le procureur de la Chine a publié un règlement en Septembre précisant que les gens seront accusés de diffamation si les rumeurs en ligne qu’ils créent ont été visitées par 5.000 utilisateurs d’Internet. Les responsables peuvent être condamnés à trois ans de prison.
Les avocats et les militants ont considéré la dernière vague de répression comme un coup dur pour ceux qui comptent sur les blogs pour diffuser l’information qui n’est pas souvent contrôlé aussi strictement que les médias traditionnels.

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