Le Parlement français va tenir une réunion d’urgence sur la Syrie la semaine prochaine. leaders de l’opposition mardi soutenu la menace du président François Hollande de «punir» le régime de Bachar al-Assad pour l’attaque d’armes chimiques de la semaine dernière près de Damas.
Après que les inspecteurs en désarmement de l’ONU ont visité le site dans le but de déterminer qui est responsable de l’attaque chimique, Hollande a rejoint l’avis des dirigeants américains et britanniques en accusant le gouvernement Assad et a dit qu’une «ligne rouge» a été franchie.
Soutien à l’opposition Syrian National Coalition (SNC) doit être renforcée, a t il dit, et plus tard, son bureau a annoncé qu’il rencontrera le chef de SNC Ahmad al-Jarba jeudi.
Une action en Syrie le Conseil de sécurité des Nations unies est jugée improbable , grâce à l’opposition russe et chinoise, les fonctionnaires disent qu’une coalition de pays, dont la France, les Etats-Unis, le Royaume-Uni et de la Turquie, est susceptible de lancer des frappes ciblées, éventuellement contre des dépôts de munitions ou stratégiques infrastructure.
Le chef de l’opposition de droite UMP, Jean-François Copé, a conclu que la déclaration de Hollande est « correcte sur le fond et dans la forme » mais a mis en garde contre une intervention à long terme, telles que celles en Irak et en Afghanistan.
L’ancien Premier ministre François Fillon, le rival de Copé pour la direction de l’UMP, s’est montré plus prudent, insistant sur le fait que l’ONU doit apporter la preuve que le gouvernement syrien est responsable avant d’agir et appelant à un dernier effort pour persuader Moscou de faire pression sur Assad.
