Google Nexus 10

Google dévoile Nexus 10, une tablette plus grande

Après Amazon, le géant de l’internet Google a décidé d’agrandir sa tablette informatique Nexus, un geste qui devrait mettre un peu plus la pression sur le leader du marché Apple, et il a annoncé parallèlement lundi le lancement d’un service de musique en ligne en Europe. Le groupe américain a fait ces annonces dans un […]

Prism : Les révélations américaines d’espionnage ont bouleversé les métriques de confiance, selon Mark Zuckerberg

Les révélations sur les programmes de surveillance secrète du gouvernement américain a eu un grand impact sur ​​les « métriques de confiance» des sociétés Internet comme Facebook, a déclaré le chef de réseau social Mark Zuckerberg mercredi. S’exprimant lors d’un forum à Washington, Zuckerberg a affirmé que Facebook garderait la pression pour une plus grande […]

Transformer l’agriculture, stimuler la croissance et mettre fin à la pauvreté en Afrique

WASHINGTON, 22 juillet 2013/African Press Organization (APO)/ — L’Afrique subsaharienne recense près de la moitié de toutes les terres utilisables non cultivées du monde mais, à ce jour, le continent n’est pas parvenu à développer les 202 millions d’hectares de terres disponibles pour mieux lutter contre la pauvreté, générer de la croissance, créer des emplois et promouvoir une prospérité partagée.

Selon un nouveau rapport de la Banque mondiale intitulé « Securing Africa’s Land for Shared Prosperity », rendu public aujourd’hui, les pays africains et les communautés pourraient mettre fin aux « accaparements des terres », accroître leur production agricole et améliorer leurs perspectives de développement, s’ils parviennent à moderniser, au cours de la décennie, les procédures complexes qui régissent le droit foncier et la gestion des terres en Afrique. L’Afrique a le taux de pauvreté le plus élevé au monde avec 47,5% de la population vivant avec moins d’1,25 dollar EU par jour.

« Malgré ses abondantes richesses en terre et en ressources minières, l’Afrique reste pauvre », déclare Makhtar Diop, vice-président de la Banque mondiale pour la Région Afrique. « Améliorer la gouvernance foncière est un impératif pour accélérer la croissance économique et faire en sorte qu’elle s’accompagne d’une réduction sensible de la pauvreté et créer plus d’opportunités pour les Africains, notamment pour les femmes qui représentent 70 % des exploitants agricoles du continent mais n’ont pas toutes accès aux terres à cause des lois coutumières. Le statu quo est inacceptable et la situation doit évoluer afin que tous les Africains puissent bénéficier de leurs terres».

Le rapport souligne que plus de 90% des terres rurales agricoles en Afrique ne sont pas enregistrées ce qui a pour conséquence de faciliter des phénomènes tels que l’accaparement des terres et l’expropriation sans dédommagement substantiel. Cependant, le rapport « Securing Africa’s Land for Shared Prosperity », citant des expériences pilotes menées avec succès dans des pays africains comme le Ghana, le Malawi, le Mozambique, la Tanzanie et l’Ouganda, propose un plan d’action en 10 étapes qui pourrait contribuer à révolutionner la production agricole, mettre un terme à « l’accaparement des terres » et éradiquer l’extrême pauvreté en Afrique.

Un plan d’action préconisant réformes et investissements

• Encourager les réformes et les investissements visant à améliorer le titrage et l’enregistrement des terres communales et individuelles.

• Régulariser les droits fonciers des squatters qui occupent des terrains publics, les bidonvilles abritant 60% des citadins africains.

• Améliorer la gouvernance foncière et lutter contre la corruption endémique en matière de gestion des terres qui, dans bon nombre de pays d’Afrique, heurte les intérêts des pauvres en maintenant le statu quo.

• Mobiliser la volonté politique des gouvernements africains afin de réformer le système foncier et encourager les partenaires au développement à soutenir ses réformes financièrement et politiquement.

Le nouveau rapport évalue à 4,50 milliards de dollars EU la somme que devront débourser sur 10 ans les pays africains et leurs partenaires au développement ainsi que le secteur privé, pour intensifier les réformes foncières et les investissements en la matière.

« Améliorer la performance et la productivité du secteur agricole en Afrique est indispensable si l’on veut une croissance généralisée, créer des emplois, attirer les investissements et une réduction significative de la pauvreté », souligne Jamal Saghir, directeur du développement durable pour la région Afrique de la Banque mondiale. « La gouvernance foncière s’avère un moyen efficace de propulser l’Afrique sur la voie du changement et garantir un meilleur avenir pour tous les Africains ».

Des conditions propices au changement

La flambée des prix des denrées de base et l’augmentation des investissements directs étrangers font qu’il est d’autant plus rentable d’investir dans la gouvernance foncière qui se traduit par de meilleurs rendements agricoles, un meilleur accès aux marchés et des prix plus avantageux. La plupart des pays d’Afrique ont déjà adopté des textes de lois reconnaissant les droits fonciers coutumiers et garantissant les droit des femmes à la propriété foncière, droits qu’il est cependant essentiel de renforcer.

De plus, les nouvelles technologies de l’information comme les satellites peuvent fortement réduire le coût d’administration des terres. En Afrique, un nombre croissant de pays ont recours à ces technologies pour réduire les frais de cartographie et topographie et ils informatisent leurs cadastres afin de réduire la corruption et alléger les procédures administratives.

Vingt-six pays africains ont mis en place au moins une station de référence à fonctionnement continu (CORS) et environ 50 CORS communiquent des données au système de référence géodésique africain qui, une fois achevé, fournira un cadre de référence géodésique unifié à travers le continent.

Les défis persistent

Avec seulement 10% des terres rurales enregistrées en Afrique, l’absence de gouvernance foncière fait que le transfert de propriété prend deux fois plus de temps et coûte deux fois plus cher par rapport aux pays industrialisés. De plus, la faible gouvernance est la cause principale de corruption dans le secteur foncier.

Le rapport souligne qu’ « à moins que les droits communaux et individuels ne soient enregistrés et que la gouvernance des terres ne soit améliorée, la récente vague d’investissements directs étrangers en Afrique subsaharienne ne se traduira pas par une croissance inclusive et durable, car la spoliation des communautés locales causera des troubles et les investissements ne porteront pas leurs fruits comme on l’a vu à Madagascar en 2009».

Le rapport cite des exemples de gouvernements africains qui sont parvenus à faire passer des lois difficiles et à progressivement réformer le système foncier au profit des communautés les plus pauvres. Illustrant la nécessité de renforcer les capacités administratives, le rapport souligne que le Ghana, le Kenya et l’Ouganda n’ont chacun pas plus de 10 arpenteurs-géomètres professionnels pour un million d’habitants contre 197 en Malaisie et 150 au Sri Lanka. Sur les 206 arpenteurs agréés du Kenya, 85 seulement étaient en activité. Le rapport fait remarquer qu’il est futile de renforcer les capacités sans réaliser des investissements complémentaires dans l’administration foncière.

« Les questions de gouvernance foncière sont au premier plan et au cœur du défi de développement de l’Afrique », déclare Frank Byamugisha, auteur du rapport et spécialiste des questions foncières pour la région Afrique de la Banque mondiale. «Ce rapport offre une feuille de route utile, axée sur les politiques pour garantir les droits fonciers des Africains en vue de promouvoir une prospérité partagée».

En 2002, au moins 20 pays d’Afrique subsaharienne avaient reconnu les droits fonciers coutumiers et l’égalité des sexes en la matière, un nombre qui a pratiquement doublé. La Commission de l’Union africaine a élaboré un plan stratégique de cinq ans pour la mise en œuvre d’une politique foncière d’ici 2016.

Le rôle de la Banque mondiale

Comme le souligne ce rapport, l’Afrique possède la plus grande superficie de terres cultivables au monde et garantir l’accès à la terre est fondamental pour ses millions d’habitants. Investir dans la gouvernance foncière bénéficiera tant au gouvernement qu’aux investisseurs et aux personnes privées de droits fonciers.

Le Groupe de la Banque mondiale approuve les directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale. Ces directives représentent un instrument international de vaste portée pour enrichir des réformes de politique spécifiques, notamment nos propres procédures et directives destinées à nos clients. Le Groupe de la Banque mondiale œuvre déjà de concert avec les pays en vue d’appliquer ces directives, en mettant plus particulièrement l’accent sur l’Afrique.

Le Groupe de la Banque mondiale et ses partenaires ont aussi élaboré le mécanisme intitulé « Land Governance Assessment Framework » (LGAF) en tant qu’outil de diagnostic pour évaluer la situation des terres au niveau des pays. Des évaluations du LGAF ont été réalisées ou sont en cours dans 18 pays, dont 10 en Afrique. Le Groupe de la Banque mondiale soutient 24 projets de gouvernance foncière pour un montant de 928 millions de dollars EU, sans doute la somme la plus importante investie dans ce domaine par une agence de développement international.

Pour en savoir plus:

Communiqué de presse: L’accès à la terre : une nécessité vitale pour les pauvres

Rapport complet:

http://www.worldbank.org/en/region/afr/publication/securing-africas-land-for-shared-prosperity

e-Commerce Tunis , un salon internationel du commerce électronique

La première édition du salon international du commerce électronique « e-Commerce Tunis » se tiendra jeudi 01 Décembre 2011 à l’hôtel Le Palace Gammarth Tunis. Cet événement s’adresse aux chefs d’entreprises, e-commerçants, porteurs de projets, webmasters, responsables marketing et les responsables IT. Une occasion de réunir les pionniers du domaine de la communication et du […]

Bill Gates tacle Mark Zuckerberg sur les prochains défis à relever

Bill Gates, interrogé par le Financial Times, tacle Mark Zuckerberg, s’agissant de son programme Internet.org, présenté cet été. Pour le fondateur de Microsoft, l’innovation technologique fait avancer l’humanité, mais elle ne sauvera pas le monde. Avec Internet.org, Mark Zuckerberg veut connecter les pays en développement à Internet. Selon le patron de Facebook, « c’est l’un des plus grands défis […]

Forum Afrique – 100 innovations pour un développement durable

PARIS, France, 16 septembre 2013/African Press Organization (APO)/ — Parce qu’une des clés du développement durable réside dans l’innovation, le Ministère des affaires étrangères, sous l’impulsion du Ministre délégué chargé du Développement, Pascal Canfin, lance l’initiative : Forum Afrique – 100 innovations pour un développement durable, en partenariat avec l’Agence française de Développement (AFD).

Pour la première fois, la France organise un événement entièrement destiné à soutenir et à aider à la diffusion d’innovations pour le développement durable, portées par des innovateurs africains, dans de nombreux domaines : la santé, l’environnement, l’agriculture, la sécurité alimentaire, l’éducation, l’égalité femmes-hommes, les nouvelles technologies ou encore l’appui aux entreprises…

Ce forum donnera lieu à un événement à Paris, le 5 décembre 2013, en amont du sommet de l’Elysée pour la Paix et la sécurité en Afrique, qui permettra aux innovateurs sélectionnés de présenter leurs innovations et de les mettre en relation avec des partenaires financiers, des créateurs d’entreprises, des scientifiques, des ONG…

Inventions scientifiques, création de micro-entreprises, découvertes innovantes, innovations sociales, recyclage de matières premières…. autant d’innovations initiées en Afrique qui pourront ainsi trouver soutien et diffusion lors de leur présentation au « Forum Afrique – 100 innovations pour un développement durable ».

Afin de proposer leur innovation au comité de sélection, constitué d’un panel de personnalités et d’experts renommés comme Esther Duflo, les porteurs de projets sont invités, dès aujourd’hui et jusqu’au 15 octobre, à remplir un dossier de candidature en ligne.

« A chacun de mes déplacements en Afrique, je suis frappé par le nombre d’entrepreneurs, d’agriculteurs, de chercheurs, d’ONG qui chaque jour innovent, trouvent des solutions pour permettre un développement nouveau. Ces innovatrices et innovateurs inventent l’Afrique de demain, lui ouvrent un nouvel horizon soutenable et prometteur, et il s’agit pour la France de contribuer à l’élargissement de cet horizon. Leurs innovations méritent d’être connues, soutenues, et leurs auteurs mis en relation avec des scientifiques, des partenaires financiers, des créateurs d’entreprises. C’est aussi le rôle de la France de créer des passerelles avec tout celles et ceux qui innovent, qui créent de la richesse, de l’emploi, autour de projets concrets qui permettent et permettront au plus grand nombre de sortir de la pauvreté. » souligne Pascal Canfin, ministre délégué chargé du développement.

Anne Paugam, directrice générale de l’AFD ajoute : « Je me réjouis de voir l’AFD associée à l’organisation du Forum Afrique – 100 innovations pour un développement durable. Le continent dans sa diversité est en pleine transformation. Il est confronté à des enjeux qui nécessitent des solutions nouvelles. Les intervenants publics et privés africains sont porteurs d’initiatives pour accompagner un développement économique et humain durable. Cette créativité doit être encouragée et promue là où c’est nécessaire. C’est aussi le rôle de l’Agence française de Développement. »

Au-delà des qualités d’entreprenariat et de viabilité économique, les projets seront choisis pour leurs contributions au développement durable et leurs dimensions sociales et environnementales.

Les modalités pratiques

Pour postuler, les candidats doivent remplir les critères de sélection suivants :

être citoyen(ne) d’un pays d’Afrique subsaharienne ;

être résident (e) sur le continent africain ;

avoir développé et mis en œuvre une innovation (sociale, écologique, technologique, financière, économique, etc.) qui répond aux objectifs du développement durable ;

présenter une innovation qui doit avoir déjà été réalisée ou expérimentée (au moins à l’échelle locale).

Les étapes-clés

– 15 octobre 2013 : date limite de dépôts des dossiers

– 5 décembre 2013 : présentation des projets lors du Forum Afrique

Un panel d’experts

Sur les 100 projets, 21 seront sélectionnés par un panel composé de grandes figures du développement : Winnie Byanyima, Directrice exécutive d’Oxfam International ; Jean-Michel Séverino, ancien Directeur Général de l’AFD, aujourd’hui gérant d’une société de gestion de fonds consacrée aux PME d’Afrique subsaharienne ; Esther Duflo,économiste, professeur au Massachusetts Institute of Technology (MIT) où elle détient la « chaire Abdul LatifJameel sur la réduction de la pauvreté et l’économie du développement » et Malamine Koné, fondateur et PDG d’Airness.

A propos de l’Agence française de Développement

Établissement public, l’Agence française de Développement (AFD) agit depuis soixante-dix ans pour combattre la pauvreté et favoriser le développement dans les pays du Sud et dans l’Outre-mer. Elle met en œuvre la politique définie par le Gouvernement français.

Présente sur quatre continents où elle dispose d’un réseau de 70 agences et bureaux de représentation dans le monde, dont 9 dans l’Outre-mer et 1 à Bruxelles, l’AFD finance et accompagne des projets qui améliorent les conditions de vie des populations, soutiennent la croissance économique et protègent la planète : scolarisation, santé maternelle, appui aux agriculteurs et aux petites entreprises, adduction d’eau, préservation de la forêt tropicale, lutte contre le réchauffement climatique…

En 2012, l’AFD a consacré plus de 6,9 milliards d’euros au financement d’actions dans les pays en développement et en faveur de l’Outre-mer. Ils contribueront notamment à la scolarisation de 10 millions d’enfants au niveau primaire et de 3 millions au niveau collège, et à l’amélioration de l’approvisionnement en eau potable pour 1,79 million de personnes. Les projets d’efficacité énergétique sur la même année permettront d’économiser près de 3,6 millions de tonnes d’équivalent CO2 par an.

Startup Of The Year Africa

Orange récompense les gagnants du Prix Orange de l’Entrepreneur Social en Afrique

PARIS, France, 14 novembre 2013/African Press Organization (APO)/ —

– Orange (http://www.orange.com) a récompensé hier les trois gagnants du Prix Orange de l’Entrepreneur Social en Afrique, à l’occasion de la cérémonie des AfricaCom Awards au Cap

– Les trois lauréats vont bénéficier d’un soutien financier et d’un accompagnement par des experts d’Orange, ainsi qu’un dépôt de brevet pour le premier prix

Logo Orange: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/orange-logo.jpg

Ce prix, qui a connu un fort succès depuis la première édition en 2011, a pour but de favoriser le développement des entrepreneurs et start-ups qui utilisent les Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) pour répondre aux besoins des populations en Afrique.

L’appel à projets, ouvert de mai à septembre 2013, a recueilli plus de 450 candidatures, reflétant la véritable dynamique entrepreneuriale du continent africain. Les projets proposés couvraient des domaines variés comme la santé, l’agriculture, l’éducation, l’énergie, l’industrie ou encore le commerce, illustrant le potentiel des télécommunications dans le développement africain.

Le jury, composé d’experts venant d’Orange, des médias et d’institutions promouvant le développement ont désigné les trois lauréats du prix parmi 12 projets nominés, présentés sur le portail d’Orange en Afrique, www.StarAfrica.com.

La remise des prix a eu lieu hier au Cap (Afrique du Sud), lors des AfricaCom Awards, cérémonie annuelle qui récompense les innovations et les performances les plus marquantes de l’industrie des télécommunications sur le continent africain.

Les projets récompensés sont les suivants :

 Le premier prix revient à l’entreprise QuickDo, créée en 2011 par un entrepreneur franco-camerounais, qui a pour ambition d’apporter aux lecteurs au Cameroun un accès aux livres (en format numérique, à prix limité), en fournissant un écosystème complet développé par QuickDo et ses partenaires (borne, liseuse, réseau). Construit dans une démarche responsable et durable, il apporte une solution tout-en-un pour les éditeurs, les lecteurs et les lieux de savoir (bibliothèques, universités, centres culturels, etc).

 Ivoire Job, qui remporte le 2ème prix, est un projet qui vise à faciliter l’accès aux opportunités d’emploi en Côte d’Ivoire à travers une plateforme web, mobile et un système SMS. Ces différents supports constitueront un espace d’échange et de partage d’expériences entre les jeunes en quête d’emploi et les travailleurs, ainsi que les cabinets de recrutement.

 Le 3ème prix revient à l’entreprise tunisienne Chifco, qui vise à l’optimisation de la consommation d’énergie des équipements les plus énergivores dans des environnements domestiques ou professionnels. L’objectif de ce projet est de réduire les coûts de l’énergie grâce à la possibilité de surveiller et contrôler en temps réel la consommation de ces équipements à distance. En suivant des indicateurs tels que les cadences de production ou la météo, les utilisateurs pourront ainsi réduire leur consommation d’énergie.

En plus de dotations financières allant jusqu’à 25 000 euros, Orange accompagnera pendant 6 mois ces trois projets grâce au soutien de spécialistes issus de ses filiales locales et à l’expertise des professionnels de l’entreprenariat et des TIC. Cette année, pour la première fois, Orange offrira au gagnant du premier prix le dépôt de brevet dans son pays de déploiement.

Les internautes du portail StarAfrica ont également voté massivement pour élire un projet « Coup de Cœur ». Le projet kenyan “Dukalangu” a été largement plébiscité avec plus de 24 000 votes. Cette boutique en ligne devrait séduire les consommateurs en proposant un large éventail de produits à des prix compétitifs. Dukalangu présente aussi une formidable opportunité pour les entrepreneurs et designers du Kenya de se développer en leur permettant de commercialiser et de vendre leurs produits en ligne.

« L’Afrique est une terre qui sait tirer parti des technologies pour une innovation sociale durable et accélératrice du développement, se félicite Marc Rennard, Directeur Exécutif Afrique, Moyen-Orient et Asie. Orange est ravi, par ce prix, d’encourager cette dynamique. Le jury a été cette année encore très favorablement impressionné de la richesse des dossiers présentés. Cela nous conforte dans notre engagement en Afrique et auprès des gagnants du prix. »

Orange est présent dans 20 pays en Afrique et le Moyen Orient et totalise plus de 84 millions de clients. Pour contribuer au développement économique et social de l’ensemble de ces pays, le Groupe a défini le programme « Orange pour le Développement » autour de trois axes majeurs :

– le développement des réseaux pour permettre au plus grand nombre d’accéder aux bénéfices du monde numérique ;

– l’innovation pour répondre aux besoins des populations par des services à valeur ajoutés dans les domaines essentiels de la santé, de l’éducation, de l’agriculture, des services financiers ;

– et enfin, la contribution au développement local des marchés des TICs et des écosystèmes d’innovation.

C’est pour répondre à cette dernière ambition, qui s’intègre aussi bien dans sa stratégie d’innovation que dans sa politique de Responsabilité Sociale d’Entreprise, que le Groupe a lancé en 2011 et a remis hier pour la troisième année le Prix Orange de l’Entrepreneur Social.

Découvrez la présentation du concours sur www.starafrica.com.

Distribué par APO (African Press Organization) pour Orange.

à propos de StarAfrica.com

StarAfrica.com est le portail de divertissement d’Orange en Afrique. StarAfrica agrège les contenus de l’ensemble des pays sub-sahariens sur ses 6 chaînes : actualité, football, + de sport, musique, éducation et jobs avec le fil conducteur de mettre en avant des jeunes talents. StarAfrica c’est aussi la boutique en ligne qui propose à la Diaspora des produits de communication innovants.

à propos d’Orange

Orange est l’un des principaux opérateurs de télécommunications dans le monde, avec un chiffre d’affaires de 43,5 milliards d’euros en 2012 et 166 000 salariés au 30 septembre 2013, dont 102 000 en France. Présent dans 32 pays, le Groupe servait plus de 232 millions de clients au 30 septembre 2013, dont 175 millions de clients du mobile et 15 millions de clients haut débit fixe dans le monde. Orange est également l’un des leaders mondiaux des services de télécommunications aux entreprises multinationales sous la marque Orange Business Services.

Orange est coté sur le NYSE Euronext Paris (symbole ORA) et sur le New York Stock Exchange (symbole ORAN).

Pour plus d’informations (sur le web et votre mobile) : www.orange.com, www.orange-business.com, www.orange-innovation.tv ou pour nous suivre sur Twitter : @presseorange.

Orange et tout autre produit ou service d’Orange cités dans ce communiqué sont des marques détenues par Orange ou Orange Brand Services Limited.

Contacts presse : +33 1 44 44 93 93

Tom Wright – [email protected]

Mylène Blin – [email protected]

La Nintendo NX devient Nintendo Switch et trouve une date de sortie en 2017

La Nintendo NX devient Nintendo Switch et trouve une date de sortie en 2017

La Nintendo NX devient Nintendo Switch et trouve une date de sortie en 2017 > Alors que ces derniers mois étaient remplis de rumeurs concernant la Nintendo NX, Nintendo aura enfin levé le voile sur sa dernière console, tout en présentant cette dernière lors d’une vidéo assez longue ; gageons pour Nintendo, que cette Nintendo […]

DHL observe des changements sur le marché des technologies en Afrique

LE CAP, Afrique du Sud, 22 août 2013/African Press Organization (APO)/ —

• La société spécialisée dans les services express estime que 60 % de la croissance du secteur du matériel informatique en 2013 viendra des tablettes et smartphones

• « Les sociétés de technologie qui s’installeront en Afrique réduiront considérablement leurs dépenses en logistique » – Charles Brewer

Le Cap, le 22 août 2013 : La concurrence au sein du secteur des technologies ne cesse de s’accentuer et l’importance de l’Asie à la fois en tant que lieu de fabrication et marché de consommation est en constante augmentation. Toutefois, même si l’Asie demeure essentielle au secteur, l’adoption des technologies a connu récemment une explosion en Afrique, qui s’apprête à devenir une région majeure.

Logo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/dhl_logo2.jpg

Photo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/charles-brewer.jpg

Ce sont les propos de Charles Brewer, directeur général de DHL Express en Afrique subsaharienne (http://www.dhl.com), qui déclare qu’une récente conférence sur la technologie mondiale de DHL a révélé cette tendance d’évolution des dynamiques du marché des technologies.

Il a affirmé qu’en raison de la concurrence accrue au sein du secteur, les fournisseurs doivent s’adapter et améliorer les produits et services pour conserver et augmenter leurs parts de marché. « C’est une opportunité permettant aux fournisseurs d’être innovants et de fournir aux clients leurs meilleures produits, services et prix.

Ces deux tendances promettent également de renforcer le rôle de la logistique en tant qu’avantage concurrentiel au sein de l’industrie des technologies, notamment alors que les sociétés mondiales recherchent des partenaires solides et bien établis pour soutenir et simplifier l’accès au marché africain. »

M. Brewer explique qu’en Afrique, malgré l’augmentation considérable de la demande de produits électroniques grand public, le continent doit attirer les investissements de sociétés de technologie internationales, afin de devenir plus qu’un simple utilisateur final de produits technologiques.

Il observe que plus que toute autre industrie, le secteur des technologies est stimulé par une innovation permanente, des cycles de vie des produits courts et de nouveaux canaux de vente. « Du point de vue de la logistique, cela représente un énorme défi, mais également une opportunité pour les marques avant-gardistes. »

M. Brewer déclare qu’en démarrant une entreprise en Afrique, ces marques peuvent servir ce marché en expansion et réduire considérablement leurs frais de logistique car elles sont basées à proximité de leurs clients.

Selon un récent rapport de Deloitte intitulé « The Rise and Rise of the African Middle Class » (L’augmentation constante de la classe moyenne en Afrique), le continent comprend un nombre disproportionné de jeunes, 62 % de la population africaine ayant moins de 25 ans. « Ceci est positif d’un point de vue externe pour les investissements, car cela signifie véritablement qu’il existe une clientèle garantie pendant les années à venir par rapport à un territoire comme l’Europe, qui connaît un déclin démographique. »

Le rapport Deloitte prévoit également que si la classe moyenne africaine poursuit sa trajectoire de croissance actuelle, elle atteindra 1,1 milliard de personnes (soit 42 % de la population totale du continent) d’ici 2060.

La tendance consistant à remplacer les PC par des appareils mobiles comme outil d’accès à Internet a également été soulignée lors de la conférence. Florence Noblot, directrice du secteur des technologies de DHL pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique, estime que 60 % de l’ensemble de la croissance du secteur du matériel informatique viendront des tablettes et smartphones cette année. « Ces deux appareils alimenteront une tendance vers des cycles d’innovation élevés, qui nécessitent que les fournisseurs de logistique améliorent leur délai de commercialisation tout en soutenant un positionnement tarifaire concurrentiel.

« Cette tendance est également claire en Afrique, et selon la GSMA, l’Afrique constitue maintenant le second plus important marché mobile au monde en termes de liaisons après l’Asie et le marché mobile à la croissance la plus rapide au monde. »

Elle affirme qu’il existe une tendance générale vers des produits simplifiés et plus légers qui, associée à la pression tarifaire, représente un défi pour les fabricants, leurs fournisseurs et parfois même leurs concurrents pour développer des solutions collaboratives qui améliorent la rentabilité de la chaîne d’approvisionnement technologique.

« Avec la croissance économique attendue, les fournisseurs de technologies bénéficient de l’opportunité idéale de pénétrer le marché africain, mais ils devraient avoir des partenaires expérimentés qui sont capables de fournir leur perspective et leur expérience d’affaires sur le continent », conclut Mme Noblot.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africain pour Deutsche Post DHL.

Contact pour les médias :

Lee Nelson. Responsable senior du marketing et des communications, Afrique subsaharienne

Tél. : +27 21 409 3600 Mobile : +27 72 361 0178

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DHL – La société de logistique du monde (The Logistics company for the world)

DHL est le leader mondial du marché de la logistique et « la société de logistique du monde (The Logistics company for the world) ». DHL met son expertise dans le domaine des services express internationaux, du fret aérien et maritime, du transport routier ou ferroviaire, de la logistique contractuelle et du courrier international, au service de ses clients. Un réseau mondial composé de plus de 220 pays et territoires, et d’environ 285 000 salariés dans le monde entier, offre à ses clients un service de qualité de haut niveau et une connaissance du terrain, permettant de satisfaire aux exigences dictées par leurs chaînes d’approvisionnement. DHL assume sa responsabilité sociale en soutenant la lutte contre le changement climatique, la gestion des catastrophes naturelles et l’éducation.

DHL fait partie de Deutsche Post DHL. Le groupe a enregistré des recettes d’un montant supérieur à 55 milliards d’euros en 2012.

Créer sa chaîne YouTube en 3 étapes

Dans les faits, créer sa propre chaîne YouTube n’a rien de bien compliqué, et permet de partager son savoir ou sa passion. Sur le papier, posséder sa propre chaîne YouTube n’a rien de sorcier, et ne demande pas vraiment de connaissances particulières. Retour, donc, sur 3 étapes clé pour créer sa propre chaîne YouTube. Inscription […]