5 actions, faciles, peuvent être effectuées sur Internet.
Cela permettra notamment, de réduire l’impact environnemental du numérique. Car oui, il ne faut pas oublier qu’aujourd’hui, et selon un rapport de Greenpeace, le secteur de l’informatique représente 7 % de la consommation mondiale d’électricité.
Numéro 5, Allonger l’existence des appareils
Les appareils que l’on utilise pour les activités sur le web proviennent de métaux parfois lourds et rares. Et ces mêmes terres rares, à l’image du néodyme, ou du dysprosium par exemple, ne sont pas illimitées. Dans les faits, il suffit de prendre soin de ses appareils, pour les conserver bien plus longtemps.
Un streaming vidéo moins élevé, numéro 4
Rien que sur l’année 2015, le streaming vidéo représentait 63 % du trafic mondial. Et dans certaines conditions, cela se veut très énergivore (smartphone, 4G, haute définition). Les solutions ici sont simples ; visionner les vidéos en wifi et en basse définition depuis un smartphone.
Top 3, L’échange de données numériques
Ne jamais oublier qu’envoyer photos ou images lourdes sur Internet a des conséquences. Car oui, un tel envoi ; comme l’utilisation du Cloud également, demande une forte quantité d’énergie.
Attention aux pièces jointes, numéro 2
À noter que conserver d’anciens mails demande, là aussi, une dépense énergétique. À hauteur de 10 grammes de CO2 par année, et par mail. Dès lors, il conviendra de ne pas inclure de pièces jointes qui se veulent inutiles. Il faut privilégier les liens de partage de fichiers.
Top 1, Des recherches optimisées sur Internet
Une simple recherche sur Google demande une incroyable consommation d’électricité. Cependant, il reste toute à fait possible de réduire le CO2 généré. Il faut, pour cela, utiliser les onglets favoris et l’historique à foison.