La course à pied et l’organisation du marathon de l’espoir > Plus que récent dans le calendrier d’un coureur de marathon, le marathon de l’espoir parvient toutefois à remporter un vif succès, grâce à la très bonne cause qui est mise en avant.
Organisé pour la première fois lors de l’année 2014, le marathon de l’espoir aura réussi le pari fou de rameuter une considérable foule pour son grand début dans le monde de la course à pied.
Organisé par l’association Sully Espoir, le marathon de l’espoir conserve le tracé principal de tout marathon qui se respecte, et met en avant une distance de 42,195 kilomètres. Si cette course à pied est rapidement devenue une référence, c’est pour son objectif.
En effet, le marathon de l’espoir est organisé dans le cadre du Téléthon et l’intégralité des bénéfices est reversé à l’AFM, par le biais de Sully Espoir ; tout participant peut également demander une déduction fiscale, si le cœur lui en dit.
La course à pied et l’organisation du marathon de l’espoir
Outre l’habituelle Pasta Party présente sur presque tous les marathons, le marathon de l’espoir prend son départ à 9 heures 30 au château de Sully/Loire et lance l’intégralité des épreuves en même temps, que l’on participe au marathon, au marathon duo ou encore au marathon par équipes ; de plus, le parcours se veut strictement identique pour les différentes formules.
Lors de la course par équipe, le relais s’effectue pendant la traversée des villages, sur le lieu des points de ravitaillement ; de plus, quelle que soit la formule choisie, le participant dispose de 5 heures 30 pour réaliser le parcours et gagner l’arrivée, qui se situe dans le centre-ville de Sully, au village Téléthon.
Concernant le tracé de la course à pied du marathon de l’espoir, des ravitaillements sont organisés tous les cinq kilomètres environ, mais la beauté des paysages traversés suffit bien souvent à faire oublier le temps et les kilomètres déjà effectués.
Alors que son départ se situe au pied du château de Sully, le marathon de l’espoir fait découvrir les bords de la Loire aux coureurs, avant de partir en direction de la Sologne et de la forêt d’Orléans.