Intervenant mardi 4 Juin 2013 sur Al Watanya 1,Mustapha Ben Jaafer, président de l’Assemblée Nationale Constituante, a commenté la mention de censure portée par les députés de l’Assemblée contre Moncef Marzouki.
Revenant sur le mutisme de la loi concernant les procédures relatives à la demande d’exemption, Mustapha Ben Jaafer pense que cette demande n’aurait pas dû être déposée car les reproches formulés ne peuvent être perçus comme faute grave.
Concluant, le Président de l’ANC a considéré que l’examen de la lettre d’exemption est une perte de temps, en particulier au cours de cette période critique de l’histoire du pays.