Obsolescence programmée, les objets à éviter

Loin d’être une légende, l’obsolescence programmée est bien réelle, et certains objets sont à éviter au maximum.

Selon l’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise des déchets), un appareil jeté à la poubelle sur deux était réparable en 2012. Et en 2017, 50 millions de tonnes de déchets électroniques étaient produits.

L’un des exemples les plus flagrants de l’obsolescence programmée provient des ampoules. En effet, ces dernières possèdent une durée de vie limitée, une limite qui n’était pas réellement présente avant les années 1920. Dans les années 1920, plusieurs industriels se sont entendus pour réduire la durée de vie des ampoules, et pousser à la consommation. Pour preuve, une ampoule éclaire toujours à Livermore, en Californie, et ce, depuis 1901. Pour les femmes, les collants sont aussi à l’ordre du jour. Dans les années 1940, des collants en nylon étaient mis sur le marché. Des collants indestructibles, qui faisaient plonger le marché. Depuis, la formule chimique du nylon a été revue pour empêcher cette solidité. De la même façon, les vêtements sont de moins en moins de bonne qualité, et un vêtement peu cher ne tiendra jamais vingt ans.

Les objets électroniques

Outre les batteries de téléphones et les imprimantes, chaque objet électronique est voué à se détériorer. Certains plus vite que d’autres. Le cas de la machine à laver en est un très bon exemple. En effet, les concepteurs de machines à laver ont modifié ces dernières, pour qu’elles tombent en panne au bout de 2 500 cycles de lavage. Cela représente un peu moins de dix ans. Cela viendrait du fait qu’une machine à laver possède une cuve en plastique, et non une cuve en inox.

Auteur de l’article : Chris