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The Lancet : éliminer les disparités de santé mondiale d’ici une génération

TUNIS, Tunisie, 4 décembre 2013/African Press Organization (APO)/ — « Nous sommes sur le point de franchir un pas important pour l’humanité », a déclaré le président de la nouvelle Commission sur l’investissement dans la santé, le professeur Lawrence H. Summers.

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Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, notre génération a les capacités financière et technique d’éliminer les disparités existant en matière de santé entre pays les plus pauvres et les plus riches, selon le nouveau rapport publié par la revue spécialisée The Lancet, intitulé “Santé mondiale 2035 : un monde convergent en une génération”. Les auteurs dudit rapport mettent en lumière la manière dont gouvernements et bailleurs de fonds pourraient, avec un plan d’investissement ambitieux mais réaliste, atteindre un degré élevé de convergence et, partant, ainsi combler les disparités en matière de santé. Il s’agit là d’une stratégie nouvelle et audacieuse, qui entend faire baisser, dans tous les pays et en une seule génération, les taux de décès liés aux maladies infectieuses et de décès maternels et infantiles au niveau de ceux des pays à revenu intermédiaire les plus performants.

« L’Afrique est à un tournant crucial pour accélérer les progrès accomplis sur la voie des OMD (Objectifs du Millénaire pour le développement, ndlr) et définir les priorités du programme de développement post-2015. Dans le contexte actuel de réduction de l’aide publique au développement, améliorer le niveau de financement domestique, les financements innovants et l’optimisation des ressources dans les secteurs sociaux est capital », souligne Agnès Soucat, directrice du Département du développement humain de la Banque africaine de développement (BAD) (http://www.afdb.org) et co-auteur du rapport.

Rédigé par un groupe de 25 économistes renommés et experts en santé mondiale du monde entier, sous l’égide du président émérite Lawrence H. Summers et de Charles W. Eliot professeur à l’Université de Harvard, la Commission appelle les dirigeants, les gouvernements et les donateurs à continuer d’investir dans la santé, mais surtout à accroitre les investissements et à capitaliser sur cette opportunité, unique, de parvenir à l’égalité en matière de santé dans le monde d’ici une génération.

« Désormais, et pour la première fois dans l’histoire, nous sommes près de pouvoir franchir une étape importante pour l’humanité : éliminer les disparités importantes en matière de santé, notamment celles relatives à la santé maternelle et infantile, de façon à ce que chaque être sur terre ait la même chance de jouir d’une vie saine et productive », indique Lawrence H. Summers. Et de préciser : « L’efficacité des médicaments et des vaccins désormais disponibles nous permet d’atteindre ce stade. Pour notre génération, c’est l’occasion unique d’investir, pour faire de cette vision une réalité ».

Les auteurs du rapport exhortent les décideurs du monde entier à intégrer cette « grande convergence » dans le cadre de l’après OMD. Si les recommandations du rapport relatives à l’augmentation des investissements mondiaux en matière de santé sont suivies d’effets, les auteurs estiment que, pour la seule année 2035, quelque 10 millions de vies pourraient être sauvées dans les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire, ce qui engendrerait d’immenses acquis sociaux et économiques pour les pays les plus touchés.

La Commission exhorte également les décideurs à adopter une approche dite de “revenu total”, qui combine la croissance du PIB à la valeur que les gens assignent à la hausse de l’espérance de vie – autrement dit, la valeur qu’ils accordent aux années de vie supplémentaires (AVS). En se basant sur cette approche de revenu total – que les économistes préconisent de plus en plus –, le rapport “Santé mondiale 2035” détermine que, sur la période 2015-2035, le bénéfice économique de la convergence excèderait son coût dans un facteur de 9 à 20 dans les pays à revenu faible comme dans ceux à revenu intermédiaire de la tranche inférieure, entre 2015 et 2035. Ce rapport bénéfice-coût souligne l’intérêt certain de tels investissements.

« Nous pensons que si les nations du monde entier adoptent une approche de revenu total pour la planification économique, les retours humains sur les investissements dans la santé pourraient faire l’objet d’une justification forte pour les décisions d’allocation de ressources, juge Dean T. Jamison, professeur à l’Université de Washington et co-président de la Commission. Les gens apprécient de vivre plus longtemps et en meilleure santé, et la notion de revenu total traduit simplement cela en termes monétaires. S’il ne donne pas de valeur monétaire à la vie d’un être humain, il tient compte de l’évolution du risque de mortalité, un paramètre que le PIB a tendance à négliger.

La Commission propose un cadre d’investissement détaillé pour les pays à revenus faible et intermédiaire, qui indique les dépenses qui devraient être prioritaires, à savoir : le renforcement vigoureux d’outils nouveaux et existants pour s’attaquer au VIH/SIDA, à la tuberculose, au paludisme, aux maladies tropicales négligées et aux conditions de santé maternelle et infantile ; cibler les environnement à forte charge de morbidité, en particulier les populations démunies et les sous-populations rurales des pays à revenu intermédiaire. Investir en amont dans le planning familial est une priorité. De plus, tenant compte des hausses du PIB prévues dans les pays à revenus faible et intermédiaire, les auteurs du rapport suggèrent que de nombreux pays seront en mesure de combler une large part de l’augmentation des investissements à l’aide de leurs ressources propres.

« En raison des changements importants de l’économie mondiale et du succès des efforts de développement, le rôle de l’aide internationale, qui reste vital, mettra davantage l’accent sur la recherche scientifique, fournissant des exemples et des modèles qui peuvent être imités et se concentrant sur le développement de techniques ainsi que sur la diffusion de l’information », ajoute Lawrence H. Summers. « L’aide internationale restera cruciale, mais elle portera moins sur l’aide financière apportée à certains pays et davantage sur l’offre d’initiatives mondiales d’intérêt général. Les budgets d’aide au développement devraient refléter cette réalité importante ».

La communauté internationale devrait notamment procéder à une hausse concertée des investissements dans la recherche et le développement (R&D), afin de développer de nouveaux médicaments, vaccins et technologies de santé, selon les auteurs. Le sommes investies actuellement dans la R&D à l’échelle mondiale devraient au moins être doublées, pour passer de 3 milliards de dollars EU à 6 milliards par an d’ici 2020, les pays à revenu intermédiaire pouvant potentiellement s’quitter de la moitié de cette hausse.

Le rapport mentionne également des politiques et des initiatives fiscales qui pourraient réduire de façon spectaculaire les maladies non transmissibles et les accidents, prévenir la surmortalité d’ici 2035 et générer de nouveaux et importants revenus pour les pays à revenus faible et intermédiaire, en taxant par exemple le tabac et d’autres substances nocives comme l’alcool et le sucre. Ainsi, en Chine, une taxe de 50 % sur le tabac pourrait permettre d’éviter 20 millions de morts et générer 20 milliards de dollars EU de plus chaque année durant les cinquante ans à venir. Le rapport fait valoir que l’objectif de couverture de santé universelle (CSU) – s’il s’accompagne d’une prise en compte des pauvres – pourrait fortement réduire le fort taux de paupérisation liée aux frais de santé restés à la charge des patients.

Richard Horton, rédacteur en chef de The Lancet et co-auteur du rapport, précise « [qu’]investir dans la santé, c’est aussi investir dans la prospérité, dans la protection sociale et financière, et dans la sécurité nationale. Ce que notre Commission souligne, de façon originale et convaincante, c’est qu’investir dans la santé revient à investir dans la valeur intrinsèque de l’être humain, ce qui est souvent omis dans les mesures traditionnelles de développement. Une prise en compte plus complète de la santé, comme le préconise la Commission, permet de révéler sa portée bien plus large ».

Pour plus d’informations sur le rapport CIS, cliquez ici: http://press.thelancet.com/globalhealth2035.pdf

Distribué par APO (African Press Organization) pour la Banque Africaine de Développement (BAfD).

Contacts :

Nawsheen Elaheebocus, experte multisectorielle en développement humain, T. +216 71 10 12 24 / [email protected]

Chawki Chahed, chargé principal de communication, T. +216 71 10 27 02 / P. +216 98 70 31 68 / [email protected]

Le soleil et le sommeil, une relation intime

Une étude américaine a analysé le sommeil de 49 employés de bureaux, 27 d’entre eux occupant des bureaux sans fenêtres, tandis que les 22 autres sont à proximité de fenêtres. Le résultat est des pus insolites. En effet, les chercheurs de cette études ont conclu que les 22 derniers sont exposés dans leur journée à 173% […]

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GSK et Save the Children lancent un prix d’1 M$ pour réduire la mortalité infantile

LONDRES, Royaume-Uni, 27 juin 2013/African Press Organization (APO)/ — Le Prix de l’innovation de santé (Healthcare Innovation Award) est la première initiative conjointe annoncée à la suite du lancement d’un nouveau partenariat ambitieux entre GSK (http://www.gsk.com) et Save the Children qui a pour objectif de sauver la vie d’un million d‘enfants parmi les plus pauvres du monde.

Logo GSK: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/logos/glaxosmithkline.jpg

Photo: http://www.photos.apo-opa.com/plog-content/images/apo/photos/health-innovation-award-4.jpg

GSK et Save the Children ont lancé aujourd’hui un Prix de l’innovation de santé d’une valeur d’1 million de dollars pour identifier et récompenser les innovations dans le domaine de la santé qui ont prouvé leur efficacité pour réduire la mortalité infantile dans les pays en développement.

Du 27 juin au 26 août, les organisations des pays en développement peuvent nommer des exemples d’approches innovantes en matière de santé qu’elles ont découvertes ou mises en œuvre. Ces approches doivent avoir entraîné des améliorations tangibles des taux de survie des enfants de moins de 5 ans, être durables et pouvoir être adaptées et reproduites.

Coprésidé par Sir Andrew Witty, PDG de GSK, et Justin Forsyth, PDG de Save the Children, le jury, composé d’experts des secteurs de la santé publique, des sciences et du milieu universitaire, attribueront 250 000 dollars à la meilleure innovation de santé pour permettre au bénéficiaire de faire progresser davantage son travail. 750 000 dollars supplémentaires seront partagés entre les finalistes.

Le prix fournira par ailleurs aux organisations gagnantes une plateforme pour présenter leurs innovations et partager des informations afin d’amener d’autres personnes à améliorer les soins de santé en vue d’adapter et de reproduire des interventions réussies et créer un changement encore plus positif pour les enfants dans leur propre pays et au-delà.

Alors que des progrès importants ont été réalisés ces dernières années, 6,9 millions d’enfants continuent de décéder avant leur cinquième anniversaire chaque année dans le monde. Souvent, ces enfants vivent dans les communautés les plus éloignées et marginalisées et pour apporter les soins de santé vitaux aux enfants les plus difficiles à atteindre, de nouvelles idées et approches ambitieuses sont nécessaires. Le Prix de l’innovation de santé de GSK et Save the Children vise à découvrir et encourager la reproduction des exemples les meilleurs et les plus innovants en matière de soins de santé afin d’impacter au maximum les enfants vulnérables.

Sir Andrew Witty, PDG de GSK, a déclaré : « Les meilleures solutions pour relever un défi particulier viennent souvent des personnes qui vivent et travaillent à son contact. Nous en sommes conscients et nous nous engageons à soutenir les personnes qui travaillent dans les pays les plus pauvres du monde pour améliorer les résultats de santé. Cette récompense identifiera les idées les plus efficaces mises en pratique dans les pays en développement et, en fournissant le financement essentiel, permettra d’adapter ces innovations pour réduire la mortalité infantile et inspirera d’autres personnes dans le processus. »

Justin Forsyth, directeur général de Save the Children Royaume-Uni, a observé : « Nous sommes convaincus que notre génération est capable de mettre un terme aux décès d’enfants liés à des causes évitables – mais cela est uniquement possible en travaillant en partenariat et en trouvant de nouvelles manières innovantes d’accéder aux enfants les plus difficiles à atteindre. Par le biais du Prix de l’innovation de santé de GSK et Save the Children, nous pouvons identifier et soutenir de nouveaux exemples passionnants d’innovations venus de pays émergents et en développement, en vue de sauver la vie de plus d’enfants. »

L’impact d’innovations simples et à bas coût peut être illustré par l’exemple de la méthode de soin maternel « kangourou » qui s’est révélé réduire le nombre de décès de nourrissons dans les pays en développement. Initialement développée par le pédiatre colombien Edgar Rey, la méthode de soin « kangourou » est une technique simple qui encourage un contact peau à peau entre les mères et leurs bébés nouveau-nés ou prématurés. Les mères jouent le rôle d’incubateur humain, gardant leur bébé au chaud et régulant leur rythme cardiaque. Cette méthode est aujourd’hui largement utilisée par Save the Children et de nombreuses autres organisations dans le monde entier.

Le Prix de l’innovation de santé est la première initiative conjointe annoncée à la suite du lancement du nouveau partenariat ambitieux entre GSK et Save the Children en mai cette année, qui a pour objectif de sauver la vie d’1 million d‘enfants au cours des cinq prochaines années. L’un des aspects les plus uniques de ce partenariat est l’accent mis sur la collaboration pour maximiser les innovations afin de lutter contre la mortalité des enfants de moins de 5 ans. Par exemple, Save the Children aidera GSK à rechercher et développer des médicaments adaptés aux enfants, en bénéficiant d’un siège dans un nouveau conseil de recherche et développement pédiatrique destiné à accélérer les avancées vers des interventions vitales pour les enfants de moins de cinq ans, et identifier des moyens pour assurer l’accès le plus large possible dans le monde en développement.

Conscients que l’innovation peut se présenter sous différentes formes, les critères de participation sont larges et peuvent inclure des approches axées sur n’importe quel aspect des soins de santé, y compris des sciences, de la nutrition, de la recherche, de l’éducation ou du travail en partenariat.

De plus amples informations sur le processus et les critères de sélection sont disponibles en ligne à l’adresse http://www.innocentive.com/ar/challenge/9933399. La date limite de soumission des candidatures est fixée au 26 août à 23h59 (GMT). Les lauréats seront annoncés en novembre 2013.

Distribué par l’Organisation de la Presse Africaine pour GlaxoSmithKline (GSK).

Notes aux rédacteurs :

Les candidatures doivent :

1) Venir d’un pays classé dans la catégorie des revenus « faibles », « intermédiaires, tranche inférieure » ou « intermédiaires, tranche supérieure » par la Banque mondiale (http://data.worldbank.org/country), et qui n’appartient pas à l’Union européenne (http://europa.eu/about-eu/countries/index_en.htm). Les pays classés dans la catégorie « revenu élevé » par la Banque mondiale ou qui appartiennent à l’Union européenne ne sont pas éligibles.

2) Travailler pour une organisation basée dans un pays éligible, avec une innovation utilisée au profit de personnes situées dans un pays éligible.

Prix de l’innovation de santé de GSK et Save the Children – membres du jury externe

(par ordre alphabétique)

Dr Abbas Bhuiyan

• Directeur général intérimaire du Centre international pour la recherche sur les maladies diarrhéiques, une institution internationale de recherche sur la santé basée à Dhaka, au Bengladesh.

Joe Cerrell

• Directeur du Bureau européen de la fondation Gates et actuellement membre du conseil de plusieurs organisations, dont la campagne ONE, UNITAID et la Clinton Global Initiative.

Lord Nigel Crisp

• Membre indépendant de la Chambre des Lords, travaillant principalement sur le développement international et la santé mondiale. Lord Crisp a été directeur général du NHS entre 2000 et 2006, et est secrétaire permanent du ministère de la Santé du Royaume-Uni.

Professeur Joy Lawn

• Professeur de santé maternelle, reproductive et infantile et directrice du centre MARCH à la London School of Hygiene and Tropical Medicine.

Professeur Alejandro Madrigal

• Originaire du Mexique, le professeur Madrigal est le directeur scientifique de la fondation Anthony Nolan et président du Groupe européen pour la transfusion sanguine et la greffe de moelle osseuse (EBMT).

Professeur Oyewale Tomori

• Professeur en virologie et président de l’Académie des sciences du Nigéria, le professeur Tomori est associé du Royal College of Pathologists du Royaume-Uni et conseiller en virologie pour de nombreux comités de l’Organisation mondiale de la santé.

À propos de GlaxoSmithKline :

GlaxoSmithKline (http://www.gsk.com) est l’une principales sociétés pharmaceutiques et des soins de santé axées sur la recherche. Elle s’engage à améliorer la qualité de la vie humaine en permettant aux personnes d’en faire plus, de se sentir mieux et de vivre plus longtemps. Pour tout complément d’information, rendez-vous à l’adresse http://www.gsk.com

À propos de Save the Children :

Save the Children opère dans plus de 120 pays. Nous sauvons la vie d’enfants. Nous luttons pour leurs droits. Nous les aidons à réaliser leur potentiel. http://www.savethechildren.org.uk