Arrêtée à Kairoun le 19 mai, au cours du meeting interrompu d’Ansar Al Shariâa, Amina de Femen comparaîtra devant le juge d’instruction pour profanation d’un tombeau et possession de gaz lacrymogène.
Ayant profané le muret d’un cimetière à Kairouan en inscrivant le mot « Femen », elle risque une sentence plutôt lourde allant jusqu’à deux ans de prison ferme.
Quant à la détention du gaz lacrymogène, c’est passible d’une peine allant à 6 mois de prison.