Une étude montre qu’on sous-estimait l’impact des disputes fréquentes! En effet, l’analyse met en évidence le fait que cette fréquence élevée amplifie le risque de décès à l’âge mûr. Un résultat que n’arrivent toujours pas à expliquer les chercheurs danois.
Le Dr Rikke Lund, de l’Université de Copenhague (Danemark) vient de déclarer dans une étude publiée dans le Journal of Epidemiology que les disputes routinières multiplieraient par deux ou trois le risque de mourir prématurément à l’âge mûr.
Il ajoute également que cette constatation concerne plus les hommes que les femmes en soulignant que ce sont les hommes au chômage qui sont les plus vulnérables et que les hommes colériques sont également moins susceptibles de gérer le stress.
Seulement, le médecin est incapable d’expliquer le résultat de sa recherche malgré que le lien entre le stress ou encore la colère et le risque accru de maladie cardiaque ou d’AVC est très visible et connu.
Le médecin évoque tout de même le fait que les disputes augmenteraient le taux de cortisol ce qui favorise les risques pour la santé. Mais l’ampleur de ce risque demeure une énigme.