Les inspecteurs d’armes chimiques de l’ONU en Syrie enquêtent sur sept cas d’utilisation d’armes biologiques, dont trois incidents autour de Damas après l’attaque du 21 Août.
Les Etats-Unis et ses alliés disent que le gaz sarin utilisé le 21 Août a montré que les forces gouvernementales étaient responsables.
La Syrie a nié et accuse les rebelles de libérer le gaz. L’Organisation des Nations Unies n’a pas attribué le blâme. Les trois incidents les plus récents, il se penche étaient en Bahhariyeh et Jobar, tant à l’est du centre de Damas, le 22 Août et 24, et Ashrafiat Sahnaya au sud-ouest de la capitale, le 25 Août.
L’ONU n’a pas donné plus de détails sur les derniers incidents.
La banlieue de Damas ont vu certains des combats les plus violents au cours des derniers mois. Au moins 20 personnes ont été tuées et des dizaines blessées par une voiture piégée vendredi dans la ville de Rankus, à 30 km au nord, a dit l’Observatoire syrien pour les droits de l’homme basé à Londres.
Des experts de surveillance international de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) débuteront inspecter le stock de munitions toxiques de la Syrie, selon les termes d’un accord conclu ce mois-ci pour éviter une action militaire américaine.

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