La chef de file Marine Le Pen de l’extrême droite française revisite une stratégie prenant ainsi les élections municipales au sérieux.
De la France anti-immigration, le front national (FN) semble être à cheval sur une vague de popularité six mois avant les élections municipales, en soulevant la partie lorsqu’elle débute sa conférence annuelle d’été le 13 Septembre dans la ville sud-est de Marseille.
Une nouvelle enquête a révélé jeudi que la cote de popularité du FN parmi les électeurs français avait augmenté de quatre points de pourcentage en autant de mois, alors que la popularité des deux partis traditionnels de la France se sont dirigé dans la direction opposée.
L’étude de la firme de sondage français CSA a constaté que le FN était en voie de remporter 16% des bulletins de vote des voix au premier tour des municipales à mars 2014.
Durant la même période, l’ancien président Nicolas Sarkozy de l’Union pour un mouvement populaire (UMP) a glissé trois points, et est maintenant en bonne voie pour remporter 35% des bulletins de vote.
Alors que le score de 16% de l’élection prévue le FN semble faible comparée à celle de ses rivaux de gauche et de droite, ce chiffre représente une moyenne nationale. Les sondeurs prédisent que le parti d’extrême droite va réclamer des scores beaucoup plus élevés dans les champs de bataille des élections spécifiques.
En 2011, les élections cantonales locale de France, le parti dirigé par Marine Le Pen a atteint le second tour dans 394 cantons, soit un cinquième de tous les conseils contestées. Mais l’écho des résultats des élections au cours des dernières années, le FN a fini presque bredouille cette année. Il n’a remporté que deux des 2.000 sièges cantonales à gagner à travers le pays.
