Inspecteurs d’armes chimiques de l’ONU doivent commencer une deuxième journée d’enquêtes sur les attaques de la semaine dernière dans la banlieue de la capitale syrienne, Damas.
L’équipe de l’ONU a essuyé des tirs de sniper alors qu’elle tentait de visiter une région à l’ouest de la ville lundi.
Lundi, le secrétaire d’Etat américain John Kerry a dit qu’il y avait des preuves « incontestable » d’une attaque chimique.
Les États-Unis et ses alliés envisagent des frappes militaires contre la Syrie si la Russie (l’allié de la Syrie) a mis en garde contre cela.
Tant le gouvernement syrien et les rebelles ont accusé l’autre de ces attaques.
L’association Médecins Sans Frontières a déclaré trois hôpitaux qu’il soutient dans la région de Damas avaient traité environ 3.600 patients atteints de «symptômes neurotoxiques », mercredi dernier, dont 355 étaient décédés.
Un porte-parole de l’ONU ont dit qu’ils avaient recueilli quelques échantillons.
Plus tôt dans la journée, le convoi de l’ONU est venu sous le feu de tireurs embusqués non identifiés et a été contraint de faire demi-tour avant de reprendre son voyage.
Secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon, a condamné la fusillade et a demandé à l’équipe de l’ONU en Syrie pour déposer une plainte.
Selon l’ONU, plus de 100.000 personnes ont été tuées depuis le soulèvement contre le président Assad qui a commencé il y a plus de deux ans. Le conflit a produit plus de 1,7 millions de réfugiés enregistrés.

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