«La piraterie maritime, les vols à main armée, les prises d’otages et les actes illicites perpétrés en haute mer, sur nos côtes ou dans la partie continentale de nos pays, font peser de graves menaces sur notre développement ainsi que sur la paix et la stabilité dans le Golfe de Guinée.»
Pour lui, la rencontre de Yaoundé, qui a accouché d’un Code de conduite, d’un mémorandum d’entente ainsi que d’une Déclaration solennelle, constitue un commencement de solution et a fait considérablement avancer la lutte contre la piraterie maritime dans la zone.
Le Golfe de Guinée, riche en hydrocarbures, en produits halieutiques et espace important de circulation de personnes et de biens, a été l’objet de 46 attaques de groupes armés en 2009, 38 en 2010, 53 en 2011 et 60 l’année dernière, selon les Nations Unies.
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