Un nombre de députés de l’Assemblée Nationale Constituante ont critiqué le ministre des affaires religieuses Noureddine Khademi dont les prêches incitent, selon eux, au djihad en Syrie et à la violence.
En réponse à ces critiques, le ministre a indiqué lors de la séance plénière de ce jeudi, 9 mai 2013, que les prêches qu’il a prononcés font partie de son droit académique qu’il exerce même avant son entrée en fonctions à la tête du ministère des affaires religieuses. Il a ajouté que ses prêches qui ont fuité, ont été altérées et que la violence et le terrorisme n’ont pas de religion.
Noureddine Khademi a par ailleurs souligné que sa lutte contre le phénomène de désordre dans les mosquées nécessite un peu de temps malgré la réussite de à rétablir l’ordre et la sérénité dans plus de 1000 mosquées.