Les signes annonciateurs de la prochaine crise économique

Bien des signes sont actuellement présents pour annoncer la prochaine crise économique.

Et de signes, il y en a. Notamment entre le pétrole, le PIB, l’industrie, ou encore l’or et le conflit entre la Chine et les États-Unis ; retour sur divers signes annonciateurs.

Numéro 5, Un effondrement du pétrole

Entre son pic et son creux le plus bas, bien des dollars y sont passés. Ainsi, début octobre, le baril s’affichait à 87 dollars. Et à seulement 51 dollars la même année, mais le 24 décembre. En seulement trois mois, le pétrole a chuté de 41 %.

Une baisse de certains PIB, numéro 4

Dans certains pays, le recul du PIB est certain. Comme en Allemagne par exemple, avec 0,2 % de retrait lors du 3e trimestre 2018. Pire encore, le PIB Japonais. Dans les faits, il aura même reculé de 2,5 %. Et l’Italie n’y échappe pas, avec une baisse de 0,1 %.

Top 3, Une Chine en retrait

La Chine, la deuxième puissance économique mondiale, connaît un essoufflement certain dans le secteur manufacturier. Pour la première fois depuis plus de deux années. Il semblerait également que le PMI Chinois (en exportations) pointerait vers un grand ralentissement dans les prochains temps.

Une explosion du cours de l’or, numéro 2

En cinq petits mois, l’or a réussi à gagner 10 %. Notamment grâce son image de valeur refuge. À noter également, que lorsque les actions Américaines ont baissé, le cours de l’or a toujours grimpé. Dans 98 % des cas.

Top 1, La Chine et les États-Unis – Le conflit

Si la lutte est déjà commerciale et même technologique, elle pourrait bien dégénérer encore plus. Car oui, si l’économie Chinoise ne cesse de prendre du galon, le Président Américain entend bien effectuer une reconquête. Attention également à la Chine, qui ambitionne de dépasser les États-Unis, sur un plan militaire, d’ici trente années.

Auteur de l’article : David Delair

Responsable éditorial - Banque Finance Immobilier Corporate. Retrouvez-moi sur LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/david-delair-356411158/ et sur Twitter : https://twitter.com/FinanceEconomie