La France a glissé dans les classements de compétitivité, en baisse de deux places depuis l’année dernière, avec son travail d’embauche et son régime de licenciement obtenant les moins bien notés. La Suisse reste en première position pour la cinquième année consécutive.
Il s’agit d’une baisse encore plus importante depuis 2011, lorsque la France a été classée 18ème.
Les classements sont le résultat d’études de 15.000 chefs d’entreprise dans 140 pays. L’indice de compétitivité mondial a été créé en 2004 par le WEF, en utilisant environ 100 facteurs économiques.
La France a glissé dans le classement en grande partie due à la hausse des succès d’autres pays – France a conservé son indice global de 5,1 sur une échelle de 7.
Notes les plus élevées du pays étaient liées à l’inflation (1er), la qualité de ses travaux de voirie (2e) et le nombre de lignes fixes par habitant (3e).
France glissé, toutefois, dans son marché du travail : en termes de relations patron-employés, France classée 135e, alors que son travail embauche et de licenciement pratiques le mettre au 144e mondial.
Derrière Suisse au classement général étaient Singapour, la Finlande, l’Allemagne et les Etats-Unis.
Parmi les dix premiers pays les plus compétitifs, le Japon a fait saut vers le haut (9e) tandis que la Suède et la Hollande ont perdu du terrain.
La bonne gouvernance et l’innovation demeurent des facteurs les plus importants dans WEF compétitivité classement.